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INTRODUCTION.


antérieures ne m’avaient point directement préparé(2). J’ai tâché de transcrire en français le plus exactement possible le mystère breton, en faisant appel aux dialectes français de l’ouest, là où le français classique ne calquait pas suffisamment les tournures bretonnes.

[1]

  1. Pour l’interprétation des passages obscurs j’ai constamment eu recours à la science et à l’amitié de A. Le Braz. M. Even a bien voulu aussi me faire profiter de la connaissance intime qu’il a du breton trégorrois. M. Emile Ernault et M. Vallée m’ont donné avec unç grande obligeance leur avis sur les mots ou les phrases difficiles à expliquer. M. Pierre Le Roux, chargé du cours de celtique à. l’Université de Rennes, a relu les épreuves de mon livre et m’a signalé plus d’une erreur.