Page:Dostoïevsky - L’Esprit souterrain, trad. Halpérine et Morice, 1886.djvu/155

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L’impatience faisait bondir dans sa poitrine le cœur d’Ordinov.

— Mais non, que dites-vous là ? — reprit Yaroslav Iliitch en fixant sur Ordinov un regard de plomb (signe qu’il réfléchissait) : Mourine ne pouvait en être, puisque trois semaines auparavant il était parti avec sa femme pour son pays… J’ai appris cela du dvornik… le petit Tartare, vous vous rappelez ?