suis allé déjà chez Fedosseï Ivanovitch… Ce n’est pas bien d’être à votre charge, Astafi Ivanovitch… Peut-être, quand j’aurai trouvé un emploi, je vous rendrai tout… Alors, je vous rendrai tout… Et votre pain, je vous le paierai.
— Assez, Emelian, assez ! C’est passé, n’en parlons plus ! Que le diable l’emporte ! Vivons comme auparavant !
— Non, Astafi Ivanovitch, peut-être vous, toujours… mais je n’ai pas pris votre pantalon.
— Eh bien ! c’est entendu ! Que Dieu te garde, Emelian.
— Non, Astafi Ivanovitch, évidemment je ne puis plus vivre chez vous… Pardonnez-moi, Astafi Ivanovitch…
— Mais Dieu te garde ! te dis-je. Qui te chasse d’ici ? Pas moi ?
— Non, mais ce n’est pas convenable que je vive comme ça chez vous, Astafi Ivanovitch… Mieux vaut m’en aller…
» En un mot, voilà qu’il s’est offensé et répète toujours la même chose. Je le regarde. En effet, il se lève et commence à endosser son pardessus.
— Mais où vas-tu, Emelian Ilitch ? Voyons, écoute, où vas-tu ?
— Non, Astafi Ivanovitch, adieu ; ne me