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GENEVIEVE.


à différer mon supplice jusqu’après l’affaire qu’ils allaient engager.

Pour moi, ne comprenant rien à leur langage, et ne devinant rien à leurs mouvemens, attendant toujours la mort dans l’infame position où j’étais… et désolée de la perte de ma tante, je ne regardais ce retard de mon exécution que comme une agonie plus longue et plus cruelle !