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MA TANTE
GENEVIEVE.




CHAPITRE XXXIV.


Visite d’un grand vicaire chez le curé.
Nous quittons le presbytère.


Je suivais ma tante, sans rien dire, et je réfléchissais en moi-même si je devais lui déclarer la scène confessionnale qui venait d’avoir lieu entre le vicaire et moi, lorsqu’elle m’apostropha la première.

« Suzon, tu avais l’air bien agitée, quand je suis entrée !… Tu as donc avoué au vicaire des terribles péchés ?…

» Hélas ! ma tante, lui répondis-je avec une effusion de cœur occasionnée par une humeur de ressouvenir de ce qu’elle avait blâmé la

  IV.
A