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de soupçonner les embûches que le sexe plus fort et plus malin lui tend continuellement, et de le prémunir contre ses attaques.

D’ailleurs la vertu soutenue de Suzon et de sa tante, est toujours délivrée à temps de tous les dangers auxquels elles n’ont jamais eu l’intention de succomber.

Un brave et généreux français meurt à la fin, mais c’est par la suite des blessures glorieuses qu’il a reçues en faisant son devoir, et parce qu’il faut bien que tout le monde finisse à son tour ; même moi, et ceux qui me liront… et encore ceux qui ne me liront pas.

Mais Suzon, qui a encore le temps de vivre et de faire de bonnes choses, comme pourront