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MA TANTE
GENEVIEVE.




CHAPITRE XIII.


Monsieur de Lafleur me place chez un
peintre.


Ma tante me remmena donc chez elle, me racontant en chemin l’histoire de son lavement, que je savais déjà ; mais ce que je ne savais pas, c’était que cet événement (qu’elle regardait bien sérieusement comme miraculeux ou comme diabolique… mais qu’elle inclinait plus volontiers à attribuer au diable, à cause des suites fâcheuses qui en résultaient pour elle) lui faisait beaucoup de tort. Tous les particuliers, craignant la répétition de cet enlèvement anodin, n’osaient plus recevoir de remèdes de sa main : elle était donc d’autant plus

  II.
A