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nait et me rabâchait comme une vieille grand’mère.
Que de titres pour me ressouvenir d’elle !… aussi je ne l’oublierai jamais : ou près, ou éloignée d’elle, toutes les peines que j’ai endurées, tous les plaisirs que j’ai goûtés, m’ont toujours rappelé sa mémoire. Les premiers mots que j’ai su bégayer, ont été ma tante Geneviève, et les derniers que je pourrai articuler, seront encore ma pauvre tante Geneviève !