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La Côte-Saint-André.

CHAPITRE XX


Aux portes du Lyonnais. — Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs. — Chambarand. — La Côte-Saint-André. — Marnans. — Beaurepaire. — Saint-Rambert. — « Vienne la Belle ». — « Vienne la Sainte ». — « Vienne la Patriote). — Ombres et vieux murs. — Sur le Rhône. — Le pont de Sainte — Colombe. — — La cathédrale Saint-Maurice. — Saint-André le Bas. — Saint-Pierre. — Le temple d’Auguste et de Livie. — Le Plan de l’Aiguille. — La cellule de Michel Servet. — Quelques rues… — Illustrations viennoises : Nicolas Chorier, Michel Pichat ; Ponsard et la critique. — La fin du Dauphiné.


À Vienne. — Le Plan de l’Aiguille.


Encore une tranche de Dauphiné, la dernière !… toujours là-bas, vers le Rhône, jusqu’à Vienne, aux portes du Lyonnais…

Et ce ne seront maintenant que notes hâtives, sèches énumérations de guides, prises un peu au hasard, dans la bousculée des trains…

Grenoble retrouvé, et Rives, Izeaux — et Saint-Étienne-de-Saint-Geoirs, près du Rival, aux bords duquel naquit Mandrin ; la forêt de Chambarand, la vallée de la Basse-Galaure, mélange à la Millet, de ciel, de verdure et d’eau ; Saint-Vallier, maison de Diane de Poitiers ; la Côte-Saint-André, bourg marchand, où vint au monde, il y a quatre-vingt-dix années, par l’intermédiaire d’un juge de paix et de