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              Nous n’ voulons plus d’ combats
                 Mettons tous l’arme bas,
                 Bâtissons la Sociale !
                     Vive le son,
                     Vive le son,
              Bâtissons la sociale !
                     Vive le son
                     Des mnrteaux !

      Le jour de gloire est arrivé (bis) :
      Le capital il est crevé (bis) :
              Nous n’ somm’s plus des valets ;
                 Nous avons not’ palais !
                 Bâtissons la Sociale !
                     Vive le son,
                     Vive le son,
                 Bâtissons la Sociale !
                     Vive le son
                     Des marteaux !

(Des bruits de marteaux scandent le refrain.)

Or Voltaire contemple ces choses avec satisfaction ; car, comme l’a très bien dit M. Francisque Sarcey, notre oncle à tous, Voltaire n’est pas un imbécile. Il représente ici le si rare sens commun, et il voit dans ces spectacles non une menace, mais une espérance et une consolation. Si bien qu'il dit à Terminus :

— Mais pourquoi ne fait-il pas comme ces gens-là,