Page:Dom Bougre aux États Généraux ; La Sultane Rozréa.djvu/36

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
 Les corrections sont expliquées en page de discussion


Conclusion.


Voilà mes doléances, elles ne ressemblent en rien à celles qui sont contenues dans les cahiers des bailliages, mais elles ne sont pas moins intéressantes, puisqu’elles touchent au point essentiel du bonheur et de la population. On y aura égard, ou on s’en foutera aux états-généraux, je m’en fouterai aussi, moi ; car si je n’ai pas fait de bien en les publiant, je n’aurai pas fait de mal. Je n’apprends rien à personne, et je ne serai pas cause qu’on pendra des ministres et des intendants.

Peut-être en foutera-t-on quelques coups de plus, eh, tant mieux ! Quand les enfants pleurent ou se fâchent, il leur faut des hochets.


FIN.