que leurs maris n’aillent au bordel, les
soulagent par cet exercice. Cette secte
s’étend tous les jours, surtout parmi les
bourgeoises ; il est essentiel d’y pourvoir,
je ne sache d’autre moyen que des primes
pour la naissance des enfants.
3o Ceux qui ont adopté la posture inverse, c’est-à-dire qui font monter les femmes sur eux, ne font point d’enfants, parce que dans cette attitude, la nature est contrariée.
Il n’est pas encore décidé si ceux qui foutent en levrette nuisent à la population. Il faudrait faire examiner la chose à fond par les casuites et physiciens, et prohiber ou autoriser cette posture s’il y avait lieu.
4o Les femmes qui se branlent le clitoris avec le doigt pendant qu’on les fout, sont sujettes à ne point faire d’enfants. On pourrait autoriser les hommes à les souffleter lorsqu’ils s’en apercevraient, d’autant que plusieurs livres de chirurgie établissent qu’un soufflet donné au moment de l’éjaculation peut faire retenir, c’est-à-dire, causer une sympathie à la matrice, d’après laquelle la femme conçoit plus facilement.
5o Ceux qui perdent leur temps à foutre des femmes grosses, font deux mau-