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et la bouche, l’office du membre viril ou du vagin.

L’homme place sa langue sur le clitoris de la femme, il lui donne de légères titillations, il aspire à lui l’intérieur des lèvres de la motte, puis il lèche du haut en bas le clitoris et ses ramifications ; enfin quand la femme lui presse fortement la tête sur ses cuisses, il tourne la langue avec force autour du clitoris, en redoublant toujours le mouvement jusqu’à ce qu’elle décharge.

La femme, pour payer de retour, prend entre ses lèvres le gland du vit, en le faisant doucement entrer et sortir dans sa bouche ; sa langue est placée sur l’orifice du canal de l’urètre, elle le lèche ou le pointe, pendant que d’une main elle chatouille le pubis.

Une femme honnête, quelqu’amoureuse qu’elle soit, ne reçoit pas la gorgée, mais une putain la reçoit. Cela dépend souvent du prix.

Ce plaisir étant très vif, les femmes y sont portées aujourd’hui avec fureur. Les hommes s’y adonnent aussi, parce qu’ils sont usés, que les cons même de quinze ans sont d’une largeur effroyable, et que les chaude-pisses sont très communes.

Un très habile calculateur a démontré