Que j’sis content !
Queu bonne nouvelle !
J’vas l’apprendre à tout le hameau :
Je crois qu’j’en perdrons la cervelle,
Ah ! je m’sauve de mon numéro !
Que j’sis content !
Queu bonne nouvelle !
J’vas l’apprendre à tout le hameau :
Je crois qu’j’en perdrons la cervelle,
Ah ! je m’sauve de mon numéro !
Oui, je m’sauve de mon numéro !
Oui, je m’sauve de mon numéro !
(Très-vite et en sautant et en sortant).
Oui, je m’sauve de mon numéro ! |
3 à 4 fois. |
ACTE SECOND.
deux ans après.
Scène 1ère.
Ma parole la plus sacrée, j’comprends pus parrain… d’puis hier, y m’fait travailler, épousseter, balayer… frotter… Et puis y bougonne, y chante… y siffle… y crie… y marche à grands pas… y fait des grimaces… ma foi, ma parole… j’y entends pus rien… rien…j’crois qu’il a que’qu’chose de traqué dans l’cerveau, c’pauvr’ parrain !… J’ai beau m’creuser toutes les idées… j’trouve pas… j’comprends rien… mais là… rien, rien, de rien… à la fin ça m’embête, moi, de rien savoir… y m’cache que’qu’chose, c’est sûr… Diable ! quoiqu’ça peut z’être ?… Je m’marie pas ?… oh ! non !… quand même je l’saurais ben… oh ben oui, m’marier… faut pas penser à ça !… surtout d’puis c’te grande catastrophe !… oh ! grosse trompeuse de Rose, va !… Tenez y m’semble que c’est d’hier… J’vas vous conter ça… Un jour… (il regarde dans la