Page:Doff - Jours de famine et de détresse, 1943.djvu/135

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Comme les Pâques juives finies, je ne rapportais plus qu’un gain dérisoire pour les dix bouches qu’il fallait nourrir, nous finîmes par manger le fonds avec le gain, et après un petit temps, tout était consommé.