Page:Dissard - Un maître d'école au xviie siècle à Saint-Haon-le-Châtel, 1880.pdf/40

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

velies sous l’église même. Nous en trouvons la preuve dans un titre de rente concédé aux prêtres sociétaires par le sieur François de la Chèze, « maistre pharmacien et chirurgien de la ville de Saint-Haon-le-Châstel (1684) ». Il y est question de la tombe d’un sieur Jean Perrin, marchand, qui est au « coing de la chapelle de la sainte Vierge », et sur laquelle on doit chanter des Libera me. Cette coutume existait encore en 1747, ainsi que l’établit une concession d’augmentation de banc dans l’église faite par les fabriciens à Jean-Baptiste Mourier et au sieur Maillant : « Convenu, en outre, que lesdits sieurs Mourier et Maillant auront le droit de sépulture et en jouiront sous le banc ci-dessus accordé en augmentation, comme ils en jouissaient sous l’ancien banc. »

« Au tems de caresme, lundis et vendredis, et dans le tems d’afflictions publique (sic), on pourra dire les Litanies des souffrances de Jesus, ou bien : Domine, non secundum peccata… etc.

Jesus, delivrez-nous de guerre, peste et famine. » (Extrait des litanies insérées dans le manuscrit.)

Nous avons été étonné de ne pas trouver, au