avec la réponse. Laquelle toute l’école répétera une ou deux fois, chacun étant debout et découvert, ce qui se pourra de même pratiquer à la sortie de l’école. »
Ailleurs, Gouttebaron dit encore :
« [La] prière étant faite, et les [écoliers ét]ant debout, le maistre [fait une demande] du catéchisme, pour… [à la]quelle il répond luy même ; [il la fait] une seconde fois, et [les écoliers ré]pondent avec luy ; puis il la fait à divers enfans pour voir s’ils la savent, et, quand ils la savent, il leur donne la demande suivante à apprendre pour la première fois que les enfans viendront à l’école. Il fait de même pour la demande des grands que pour celle des petits. »
Nous voyons surgir ici un nouveau classement des écoliers. Pour l’enseignement du catéchisme, il n’y a plus que deux « bandes ou classes ». L’une comprend les première, deuxième et troisième classes ordinaires ; c’est la bande des petits. L’autre se compose de la quatrième classe ordinaire, celle où sont les écoliers les plus instruits.
§ III. — Le Déjeuner.
« Ces deux demandes du catéchisme finies,