Page:Dieu, par Victor Hugo, 1891.djvu/94

Cette page n’a pas encore été corrigée


La nuit triste emplissait le ciel comme un géant ;
Et la chauve-souris rentra dans l’ombre horrible ;
Et j’entendis l’oiseau, disparu, mais terrible,
Qui criait : — Dieu n’est pas ! Dieu n’est pas ! désespoir !

II