Page:Dieu, par Victor Hugo, 1891.djvu/87

Cette page n’a pas encore été corrigée

I

Et je vis au-dessus de ma tête un point noir.

Et ce point noir semblait une mouche du soir
Volant à l’heure où, l’ombre à prier nous invite.
Et, l’homme, quand il pense, étant ailé, j’eus vite,
Franchi l’éther, qui s’ouvre à l’essor des esprits
Et cette mouche était une chauve-souris.

Et ce lugubre oiseau volait seul dans l’espace
Et disait :