Page:Dieu, par Victor Hugo, 1891.djvu/177

Cette page n’a pas encore été corrigée

Dieu médite ; le ciel rêve ; l’enfer attend.
Et c’est ce mot qui sort de l’ombre : Je pardonne.

Le griffon s’effaça, comme l’éclair qui tonne,
Dans une brume où rien ne semblait se mouvoir.

VII


Et je vis au-dessus de ma tête un point noir ;
Et ce point noir semblait une mouche dans l’ombre.