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Pag. 719. col. 1. lig. 56. au lieu de tel que, lis. telle que celle de.

Pag. 750. col. 2. lig. 33. assez composée, lis. assez peu composée. Ibid. lig. 34. simple, lis. irréguliere.

Pag. 753. col. 1. lig. 28. au lieu de en diminuant, lis. en augmentant.

Pag. 759. col. 1. lig. 39. particulierement, lis. primitivement.

Pag. 907. col. 2. entre les lignes 8. & 9. à compter d’en-bas, ajoûtez cette ligne omise, T étant regardée comme l’unité par rapport à L.

Pag. 908. col. 1. lig. 4. quadruple, lis. double.

Pag. 919. col. 1. lig. 11. un creuset, lis. le creuset. Ibid. lig. 28. à compter d’en-bas, uncs, lis. unes.

Errata pour l’article Etymologie.

Page 99. col. 2. ligne 44. & suiv. sont l’ouvrage du besoin où les hommes se sont trouvés de faire connoître les idées intellectuelles & morales, en se servant des noms des objets sensibles. lis. sont l’ouvrage du besoin : les hommes pour designer aux autres les idées intellectuelles & morales, ne pouvant employer que les noms des objets sensibles.

Page 100. col. 2. lig. 40. se sont, lis. seront.

Page 101. col. 1. lig. 13. μελ, lis. μελγ.

Ibid. ligne dern. des noms aux objets ; pourvu, lis. des noms aux objets, pourvu.

Ibid. col. 2. lig. 2. ne devoient pas savoir, on connoîtra, lis. ne devoient pas savoir ; on connoîtra.

Ibid. lig. 4. les adresses du besoin : pour la vaincre, lis. les adresses du besoin pour la vaincre.

Ibid. lig. 48. l’une & l’autre, lis. l’une en l’autre.

Ibid. lig. 57. autre consonne, l’altération, lis. autre consonne du même organe, l’altération.

Page 102. col. 1. lig. 33. l’s consonne, lis. l’v consonne.

Ibid. ligne 51. d’un changement, lis. du changement.

Page 104. col. 2. lig. 1. de la distribution, de l’autorité, & de la dépendance entre les deux peuples ; lis. de la maniere dont l’autorité & la dépendance sont distribuées entre les deux peuples.

Ibid. lig. 46 & 47. fondée, lis. fondées.

Page 105. col. 1. ligne 6. les impressions dans la mémoire, lis. les impressions des mots dans la mémoire.

Ibid. col. 2. ligne 61. ce sentiment, lis. cette opinion.

Page 106. col. 2. lig. 6. de l’n & de l’u en i, lis. de l’hêta & de l’upsilon en i.

Page 107. col. 1. lig. 29. simples possibilités ; plus les suppositions sont multipliées, chacune, lis. simples possibilités, plus les suppositions sont multipliées. Chacune.

Ibid. col. 2. lig. 55. l’application la plus médiate, lis. l’application la plus immédiate.

Ibid. lig. 70. & la marche, lis. & de la marche.

Page 109. col. 2. lig. 40. Ce n’est point, &c. effacez ici tout cet alinéa jusqu’à la ligne 45. & transportez-le à la page 110. col. 1. lig. 7. après ces mots, recherches étymologiques, lisez ainsi : Ce n’est point ici le lieu de fixer les cas où elle est indispensablement nécessaire & ceux où l’on pourroit s’en passer, ni de développer l’usage dont elle pourroit être pour comparer les mots entr’eux. Voyez Mots & Synonymes. Quoi qu’il en soit, je crois qu’il est toûjours avantageux de s’en servir, & que le secours des étymologies y est utile dans tous les cas.

Au reste, &c.

Page 111. col. 1. lig. 13. d’un certain vent de la nuit, lis. d’un certain vent Colpias & de la Nuit.

Ibid. ligne 73. le nom d’une ville, lis. lorsque le nom d’une ville.

Ibid. lig. 74. vraissemblable. On est en droit, lis. vraissemblable, on est en droit.

Ibid. col. 2. lig. 22. après communiquer, lis. nous en avons quelquefois profité, & nous en eussions, &c.

Pour l’article Existence.

Page 261. col. 1. lig. 23. pas nécessairement, lis. pas au contraire nécessairement.

Page 262. col. 1. l. 29. qui forme, lis. que forme.

Ibid. col. 2. lig. 48. de sensations passées que, lis. de sensations passées ; que.

Ibid. lig. 51. nous voyons ; que nous verrions, lis. nous voyons, que nous verrions.

Page 263. col. 1. lig. 61. qu’ont eu, lis. qu’ont eue.

Ibid. col. 2. lig. 57. auroit, lis. auroient.

Page 264. col. 2. lig. 43. & très-différentes, lis. & différentiée.

Page 265. col. 2. lig. 33. peut-être également, effacez peut-être.

Page 266. col. 1. lig. 66. de rayons mis, lisez de rayons mus.

Pour l’article Expansibilité.

Page 279. col. 1. lig. 6. de même dégagé, lis. de même l’air dégagé.

Ibid. lig. 13 & 14. que l’eau se sépare dans la distillation, lis. que l’eau dans la distillation se sépare.

Page 281. col. 1. lig. 53 & 54. la simple voie de vaporisation, lis. la simple voie d’évaporation.

N. B. Cette faute d’impression forme un contresens très-important. Mon dessein, en substituant dans tout cet article le mot de vaporisation à celui d’évaporation, employé dans ce sens par quelques physiciens, n’étoit nullement de mettre un mot nouveau à la place d’un ancien, mais de ne pas confondre sous une seule dénomination deux phénomenes très différens.

La vaporisation est le passage d’un corps de l’état de liquidité à celui d’expansibilité par une force répandue dans toutes ses parties, qui les écarte les unes des autres : c’est ce qui arrive à l’eau échauffée au-dessus du degré de l’eau bouillante. L’évaporation est la déperdition que fait un corps liquide, ou même solide, d’une partie de son volume, lorsqu’il est exposé à l’air libre. La vaporisation suppose que le corps soit déjà liquide ; l’évaporation a lieu également, soit que le corps soit liquide ou solide, & à tous les degrés de chaleur, car la glace s’évapore aussi-bien que l’eau. La vaporisation est de la masse entiere, dont toutes les parties sont violemment écartées les unes des autres. L’évaporation n’a lieu qu’à la surface, & suppose un contact immédiat avec l’air ; enfin la vaporisation est l’effet de la chaleur appliquée au corps même vaporisé, l’évaporation est produite par l’application & par l’action dissolvante d’un fluide étranger. Cette théorie qui est une des plus fécondes de toute la Physique, me paroît portée au plus haut degré de certitude dont cette science soit susceptible, & jusqu’à la démonstration. On peut la voir très-bien développée à l’article Evaporation. Je l’ai supposée plus d’une fois dans le cours de celui-ci, où j’aurois dû citer M. le Roy, docteur en Medecine de la faculté de Montpellier, auteur de cet article. Mais, quoiqu’il eût exposé ses principes dans une dissertation envoyée à l’académie des Sciences dès 1751, & long-tems avant que la même idée se fût présentée à moi ; sa dissertation n’étoit point tombée entre mes mains lors de l’impression de l’article Expansibilité, & j’ignorois absolument que cette explication du phénomene de l’évaporation ne fût pas neuve.

Ibid. col. 2. lig. 66 & suiv. 4°. Au contraire l’eau, ou toute autre substance unie à un principe qui demande une moindre chaleur pour s’élever, s’éleve aussi à un degré de chaleur moindre qu’elle ne s’éleveroit sans cette union, &c. Cette proposition est trop générale, & les exemples qui l’appuyent ne la