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et sans aucun vêtement, sans cela je n’aurais pas manqué d’aller voir un homme aussi célèbre. Je le prie de m’envoyer quelques sonates pour le clavecin s’il en a de manuscrites et qui n’aient point encore été publiées ; il aura la bonté d’y attacher un prix que je remettrai à la personne qui m’apportera ces sonates de sa part. La seule observation qu’il me permettra de lui faire, c’est que j’ai plus de réputation que de fortune, conformité malheureuse qui m’est commune avec la plupart des hommes de génie sans y avoir le même titre.

Je suis, etc.



FIN DE LA CORRESPONDANCE GÉNÉRALE
ET DES ŒUVRES COMPLÈTES DE DIDEROT.