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Wilkes parmi ses plus illustres membres ; et la liberté de votre pays trouvera en vous un généreux défenseur de ses droits et de ses privilèges.
J’ai l’honneur d’être, etc.
XLII
À SUARD (?)[1].
Cela m’est bien doux, mon ami, de me donner du temps pour le morceau et de ne m’en point donner pour le portrait.
Voilà le portrait, belle épreuve ; la petite page viendra bien avant le temps que vous m’accordez.
Mon respect à madame. Ou m’a dit que vous aviez lu l’article Jésuite et qu’il ne vous avait pas déplu. Lisez encore, si vous n’avez rien de mieux à faire, Intolérance et Jouissance.
LXIII
À L’ABBÉ GAYET DE SANSALE,
CONSEILLER AU PARLEMENT ET DOCTEUR DE LA MAISON DE SORBONNE[2].
CONSEILLER AU PARLEMENT ET DOCTEUR DE LA MAISON DE SORBONNE[2].
Le 30 juillet 1768.
- Monsieur,
J’ai lu les deux mémoires et je vais vous en dire mon avis sans partialité. Je connais particulièrement le père, la mère, les
- ↑ Sans date ni signature. Inédite. Communiquée par M. Alfred Sensier.
- ↑ Cette lettre et les deux autres qui suivent sont inédites. Elles font partie de la magnifique collection d’autographes commencée par M. le marquis de Flers et continuée par son fils à qui nous en devons la communication. Diderot fait allusion, ce nous semble, à la femme dont il prend si chaleureusement ici les intérêts dans le passage de la lettre du 22 novembre 1768 à Mlle Volland : « Les bienfaits ne nous réussissent pas. Nous avons donné gîte à une de nos compatriotes qu’une affaire malheureuse avait appelée à Paris. Elle s’est amusée pendant trois mois à mettre, par ses caquets, tout mon peuple en combustion. »