![% probable continuation de la partition 268B
\language "italiano"
porteeA = \relative do'' {
\time 6/8 \key sol \major
\mergeDifferentlyHeadedOn
\mergeDifferentlyDottedOn
<< { \voiceOne
\autoBeamOff
si4( do8) do r8 fa,! | re'4. fa,!4 fad8 | sol4 la8 sib mib re | \break
re4. sol,8 r lab | la!4.~ la8 si do | re4.\( re4\) s8 \bar ""
}
\new Voice { \voiceTwo
fa,!4 mib4. s8 | re4. dod | re4 dod8 do4 re8 | \break
do4.\( \shiftOnn si4 \shiftOff do8 | dod4. do\) | re'8[ sol, fa] s4. \bar ""
}
\new Voice { \voiceThree
\stemDown s2 fa'!8[ dod] | s2. s
s4. sol4 s8 | \slurDown sol4.( fa) | re4. s \bar ""
}
>>
}
text = \lyricmode {
% Ber -- cé par des pa -- ro -- \skip 1 les \skip 1 dou -- ces, L'en -- fant som-
-meil -- les
Sous l'œil de sa mè -- re plei -- ne d'a -- lar -- mes,
À l'aube il s'é -- veil -- le
}
porteeB = \relative do {
<< { \voiceOne
fa!2. | fa!4.\( sol4 fad8 | fa!4 mi8 mib4 sib!8\) | \break
sol'2. | \stemDown re4.~ re4 r8 | \stemUp si'2. \bar ""
}
\new Voice { \voiceTwo
lab,4.( la) | sib2.~\( | sib!4. solb4 fa!8\) | \break
\acciaccatura mib8 mib'2. | s | sib4. s \bar ""
}
>>
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\score {
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\new Lyrics \with { alignAboveContext = "mel" } { \lyricsto "mel" \text }
>>
\new Staff = "mel" <<
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>>
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\header { tagline = ##f}](http://upload.wikimedia.org/score/q/h/qh8w4jka9ejh6g6e4zn7i3l5bsr57w0/qh8w4jka.png)
ouvrage de musique de concert ou de théâtre.
Monteur, n. m. Ouvrier s’occupant du placement des cordes dans la facture des pianos.
Montre, n. f. Rangée de tuyaux formant façade dans un buffet d’orgue. Les tuyaux de M. appartiennent au Principal (voy. ce mot). On les fait en étain poli. Dans quelques buffets anciens, ils recevaient une ornementation de couleurs et d’ors. Leur dimension sert à dénommer l’importance de l’instrument. Un orgue de 32 pieds en M. est un instrument des plus grandes proportions, dont les plus grands tuyaux, souvent disposés en forme de tourelles, mesurent environ 32 pieds de longueur, non comprise la partie conique qui en forme le pied, ou, au total, environ 12 mètres. Les orgues de 16 pieds en M. sont les plus généralement répandus dans les grandes églises de France. Les chapelles et petites églises ont des M. de 8 ou 4 pieds. Les nécessités de la symétrie conduisent parfois les architectes à placer dans la façade d’un buffet quelques tuyaux muets. On signale, dans quelques églises d’Espagne, des M. tout entières fictives, simulant un second orgue placé en face de l’orgue véritable, aux deux bras du transept. Une particularité du buffet d’orgue de Lunéville, construit par Dupont (1749), est de n’avoir aucun tuyau en M.
Morceau, n. m. Partie, complète en elle-même, d’un ouvrage de musique : le premier M. d’une symphonie, un M. d’opéra. || Une pièce quelconque de musique : un M. de piano, un M. de chant, etc.
Mordant, part. pr. du v. tr. mordre. Caractère incisif d’une voix ou du jeu d’un instrumentiste.
Mordant ou Mordent, n. m. Petit ornement mélodique, en usage depuis le xvie s. sous des noms et des formes variables. Il consiste en l’introduction d’un battement très bref, précédant la note à orner. Les luthistes, qui en furent sans doute les inventeurs, le pratiquaient en montant et en descendant :
![\language "italiano"
\score {
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s8 do32[ re do8.] s8 \bar"||" s8 do32[ si do8.] s8 \bar "||"
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\header { tagline = ##f}](http://upload.wikimedia.org/score/s/5/s5uof74uk27v1z4n69mx59ni5m14pok/s5uof74u.png)
Mersenne (1636) qui le nomme
« tremblement » l’indique seulement
sous la forme ascendante. Les Anglais
Simpson († 1669) et Mace (1676) le
notent uniquement dans le sens descendant.
L’Allemand Fischer (fin
xviie s.) s’en sert dans le même sens et
l’appelle « semi-tremuli, vulgo mordant ».
Chez L’Affilard (1697) il devient
le « pincé » et s’inscrit en petites
notes. Emm. Bach (1753) le note en
descendant et le déclare indispensable
dans le jeu du clavecin, pour soutenir
le son, lier des notes qui se succèdent
en montant, faire briller des notes syncopées,
détachées en staccato, ou produites
par saut, etc. Le signe , qui
est proprement le signe du trille court
mais traversé d’un trait, est habituel
chez Bach et chez Marpurg (1750),
qui l’identifie au pincé en le nommant
« pincé, ital. mordente ». Mais
la confusion qui règne dans les dénominations
des ornements porte Léopold
Mozart (1756) à placer sous le
même titre 3 sortes de formules dont
la première seule est conforme aux
définitions précédentes.
![\language "italiano"
\score {
\relative do'' {
\time 4/8
s8 \grace { do32 si } do4 s8 \bar "||" s8 \grace { si32 re } do4 s8 \bar "||" s8 \grace { re32 do si } do4 s8 \bar "||"
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\header { tagline = ##f}](http://upload.wikimedia.org/score/h/j/hjo6dx7qrwehs2n8h927gzl81e4xz3w/hjo6dx7q.png)
Le sens exact
du terme semble de nos jours absolument
perdu, puisque Malhomé (1903)
donne pour seul « véritable M. » le
« groupe de 2 petites notes qui se
suivent par degrés conjoints à la
distance d’une tierce au plus de la
note principale qu’il précède », groupe