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ORG P ar opposition aux Curps inorçoniquts. - ,aQS t • . . . ~ parlant de~ person.ne.s, qw a_ une org.1runt1ou wnne ou mauvaise. Perso,ma hum ou mal orga- . ·e -Au mor ;al, Tête hitm ou mal organisée, 11 ~ 1111e dont l’esprit a de la force et de la jusr : .. 00 ,tont l’esprit est raible ou fau.x . - p :1r llnal. ’Rtgl(, État bi.. :1J org_a,Us1, -Se _dit tl’un • UUJDtDl auquel on a 3JOUlc un petit orgne. 1

Jk vr ;tmisù. t

Pa :rtidpe passé da vel’be ~r. OÏGA~ISER. v . a. Donner a11x partie !. c .l’uo ciqœ, la Ji,positiun nêc~s~aire roô :r les ~onctions uqoelles il est destine. -Jo10d1 :e, 3JOUlt~ uu ’t 01gue à un in !trument. Organuer une 1nelle, piau<>, wu ! ipi11t1te. - lltgler le moo ;~ment nterieur et cootc-ntieux d’un co1·ps pohhque, · UDe administration, etc. - S’orlla-"iJer. v. p•·on. rendre une fonue rëgulière ; se former c :n corps. ; cevoir uue imûtuti.on. U11 corps 9ui comme11ce t s•orgauiJt :I’, = ÜAGA !UsÉ ;, i ;i,. part. OllGA :$.IE. • · m. phy•iol. Qualité d& l’être rgani.,.é. -Di ~~ositi_on, tw~•Jng~m 1 ent, :,y~~èmc ors :rncs. - Cc qua appàrtient a 1 organe ; et3t, de d’orgaoi !tallon. ORG. - 1. :’IISTE. • · des 2 S· Joueur d’orgue. -Celui (JUÏ est chargé de toucher 1’01·gne dans les ’ ’KS. - u,1 bon urcani1te. t Fabricant d’ot-un. - :iom d’une t !oipèce d’ohtau du genre <les apg :ara,. tORGAc’.Ot.RAJ>Iœ. •· m. Celui qui s’occupe dicrirc )es organes des phmtes, ttc. fORGANOGll PlUE. s . f . bo1. el hi.si. nat. ·a.•ILJescription <les organe~ . -T,·aité sur cc.s orgaot :;. fORGA. :OGJl.l’HIQCE. adj. des 2 g. Qui e,t latif, qui a rapport li l’organographie. fORGA.’iOLl ::l’llQlJf.. adj. de,• S· méd. So it cle ce qui c :it iudiqué par les organes. tOIGA’OJ.OGIE. •· f . Art de connailre, par es protubrrauces du ci.inc, le..) (.,cuités di’Cl"St’~ les wodili<-atioru varices de la sensibilité ou l’iatrlligt·nce hum :iiae. I’. ÛIC.AXO~coru. ORGA.OLOGIQCE. •dj. des 2 g. Qui •t•P••· - . t, qui e. : .t rcbrjf à l’ol’ganologic. , ORGA :"’ !OSCOl’JE. • · f . wéd. et bo1. Examen _ da organts. t Di·ination par lïrhpcclion de.) organt :" !1. -’l'raité .)Ur les orgaue.s , et 8or ce qui couceruc l’être organh,ë. tORGAè’IOS(XH’ll{.. s. u>. Celui <Jrti clécril h•• partie) et le :-. fonction~ <lei organes. pt :u u.si.tc :. t()RCA.OSCOJ’IQCE. ,cl. des 2 g. mcd. Qui appartient, qlli c,t ,datif à l1otg :mo~copic. tOR( ; . . :-S ’ H. (CO :. : .. 111. Sorte c.l’în. :,trurnt’nt qlll en 1euuit plu. :,itua-s aou·e :, à vent, associés à llD pi.iuo. 01GA~Sl, s. m . Soie torse qui a paut deux. Cod par le nu.>uHu. -tCompo.)c <le deux, ta·ois ou quatre briu~ de soie dont chacun e.)l tordu 11parrmt·nt. Or ;muiu dt Pitimont. - t La plus oàle soie et fa plus lt’gi :rc qu,on tite de Jessu :, NI <.. - oc ons le :. plu !,, tins. Ol{v meot. - 01’1f1J monde !. s . m . . :,c <ht des grains <l·oq ;c bien ncuoyës et dépouillb. de leur écorce. - Bois~on faite avec Cb g,·aiu.s. - Orçe perlé. .s. m. t Se dit lor$q11e lts graius oat étC prCparés et ai-tondis par Je frouemeot.- 011 a.ppelle, Grain d’orge, toile G"in. d’orge., une toile fabriquée en Normandie, et seu1ée de pojn1s seu1Llables à de :> grains <l’orge. -Sucre tl’or3e, co,npo :;itfon jaunâtre, transparente, (aitc avec du .sucre mi.s clans une dé<.- oc1ion légère d’orse, jusqu’à cc qn 1 il ait a.sscz : de consistance pour eu f.t.1"e Jcs tablette~ ou des bâtons. - prov. Faire se.s orges, faire &Oil profit , faire bien ses affaires. tORGl !ANES. s. ! . pl. Prêtresses de Bacchus qui présidaient aux orgies. I’, ÛIGI. .STU, 01GEAT. s. m . Sorte de hoii :ion mfraichis-S 3nte, faite avec de l’eau, du sucre, des amantle. s, et de 13 graiue pilée des quatre seœencc.s froides. - Autrefois on lui donnait le nou, d~ û·/me d’orge. ORGEOLET, on ORGELET. s. m. méd. P .iite twnem· iofiarumatoÎl’e de la forme d’un gl’ ;Üu d’orge qui vieat au~ paupierc :s ; u-. ala,lic , inJbut• ma.lion des paupières. tORGl ::ONS. s. m. pl. Prêtres qui cêlébraient, chez les anciens, les mystè1c... .secrets. ORGERAN. s . m. ~ :,pèce de pomme. tOllGIASTES. • · f . pl. my1b. Prê1. - es se s tic Bacchus, oa Daccùantes, qui p1•ési<la !e11t aux Ol’gic. :;. OliGA) ;SJ’.'il.lt v. • · Préparer de 13 soie qu’on Domme Orga11 :Û11, et la faire pahcr Jeux. foi. ; au l ,a,OIJl.in. , .lJouliu 11tû Jrrl à or1,anJÎllcr. :a 01~A :f• , 11xi, i1 :. p :in. ORG 15S ph1$ :cnrs fois, dans l’année, sous différents noms. ou -avec qaclqoes diffê,·ence.$ d :tns lts ccrèmonics suptl’stiticuses, mai1 elles êtalent toujours plei. nes de torpllude et d’infamie. Dans quel( !UC.5,unc.s de ces Ol’gies, des (ernme.s toutes nues s• :’ donoaicnt le fouet, d’ :rnu· . . :-s se d(chlr.lieut b peau ; cnGn on y commettait ton.s les crimes qn’,.ntodscnt l’i~1 ·es.se, l’exemple, 1’impunitê et b liccnct : 1a plus effrëoée. Par su.ile l’autoritè se vit oLJig,’e d’inte,·<lil’e ces fêtes odieo.,es : c’est cc qui eu, lieu à Thèbes et da.n .s plusieurs autr~s endroits... - pa1· e .xt. Débauche.s de table. En ce .sens il ite Jjt aui.si au .singulier. Faire w,~ orgie.- Y .01GTr.s . ORGIOJ’HANTES. s . n,. pl. Prêtres ou principaux ministres qai présidaient :Jux 01·gies. OR’,UES. •· f. pl. Boues de ja,·ello qu’on a posêe$ horitontalemcnt snr oa toit. ORGUE. s . m. ORGUES. •· f . pl. tte plus considérable et le plus complic1né des in.s1ruments de u ;iusiquc, inveoié par CtCsibius : il fat mis Cll usage ,b,a les églises ’Cl’S l’an I ~ so. C’est uu io’)trumeat ,i ,·ent, composé cle di ver., tuyaux de cliffércntes grandem-s, d’un ou de plusieurs clavicn ; , et Je soufflets qui fotu-o.i.ssent le vent. -Lieu élevê où les orgues sont placées dans une église. - ./’oint d’orgue, trait de chant arbitt’afre et recherché que les wnsicicns exécutent, sui :-toat en Italie, à fa fü1 c.t•uo air vocal on instt·umental ; t, ait final, imp1-omptu, ah· de caprice. -Espèce de hcr~e avec laquelle on ferme les portes d’une ,·ille 3ttaquée. - •.sscmbfagc Je plu~ieors pièces de canons de mousquets joints cosemble, el dont le :, lumières &e communiquent, qu’on employ :it à la déferbe des Lrècht :.s d’une ville a.s .siégée.

!ORGUE DES SAVEUllS. s . ru . lnstrumen1 bi · 

zarre qui fut ÎU·enté par l’abbé Poncelet, au co1umeoee 111ent da siècle dernier. Il avait 1·eprésenté chaque ton de la ma :>ique par uoc saveur d’apre :> la série :iuiv.inte : l’acide rêpoud :üt à l’ut, le thde au re’., le ùonx an mi, J>amcr• ml fa, l’aig1C :, doox au sol, l’3u~tèl’e au lu., et le piquant au 1t. En pl·essaot une touche du clavier, on tirait à l :t fois un sou d’un tn1 :w, et une goutte c.le liqueur d’une fiole. Cette liqueut’ $4 ! 1·e1Hl :tit c.lans un go• belet, <lont le ruu.sicien buvait le coutcnu aprè :; le morceau. jouê ; et Je mêlnusc des différente" liqueu~ était asré :1blc1 ou nauséabonde, selon que la musique était bonne 0 mauaiic, et l’exécu.. lion plus ou moins parfnite. On voit qu’il n’y avait <JUC <l’habites umsiciens qui pou’aient !>C l’isqnCL’ seuls à toucher de cet êtr :rnge instr01uent. OltGt :E D’ALL~1.A .G :l !E. ,. m. O,·gue qui se joue pa•· le moyen d’une manivelle et ù’un cylin• dre m,ré. tORGLE Dl ! B..RBARlE. s. m . C’est une vielle organisée dite d’Allnntrgne. ORGUE DE iJER. s . m . Espi•ce de vermiculaire qui se 11-ouve dan.s la mt-r . ORGUE HYDRAULIQUE. s . m. Sorie d’ot·guc <1ui jonc p :tr le moytn de l’eau. ORGlllS. •· f. pl. f,’tes cousac.- ées à Bacchus. i"" Les Grecs teruient ces fêtes des Égyptien.) . Rieu de plus simple d’abord <JUe le$ cén, :monfos qu’on y pratiquait, et qui ne consi, ;laic :ut qoe dan ! l’oblation d’uu •a-. e pleiu de ’În et d’une corbeille remplie de figues , at :coropagui :e du ~cri6ce d’on bouc ; wais 1,i.cntôt un de~ poiob le... plus impt>r• tants dt : cc. :tte ft :tc fut d’y paraitre couvett.s de peau de bouc :;, de daims, de tigres et d’autres animriUX, .li .oit <lome~tique~, ( !t même nuva ;t :.. ()u :;’y barbouill :tit le ·i ~asc de sang ou de queh1ue cllo.ic qui lïmitàt , comme 1a lie de vin ou Je jus de ml1rcs. EnCio tout dégcnéra dans ces cérêwonic$ en ruas(’aradc :,, eu conr~cs iosensèes, et en fureur ; c,était à qui fel’ait le plu.s de folies. Au lien de potter une peau c.le houe on de chè"re 1 011 ci ut bien mieux faire de s’h ;1billcr en ügre ou en chèv 1·c ; de ~•affubler Ja. tèt< ; des corne :; d’un chevreuil ou d’un jeone cerf : tle se couTir tout le ’is.ase d’êcc.m ::e d’ :u·hl’e, de façon à irulter 1e nez cam :u·d et les Ol’eillcs pointue ::. clu chevreau et du b9uc , ~ 311> nêglige1· Jo autres oruemenl :i Je la figure. Ou cboî :;l~•1.lt un gros ga.- ~on bien nourl’l, d’an bon e1obonpolut , pour fui.re le pe1-,onnagt de .8 .tc ;dlUs, ’lu’on pl :lt ;o1il :)llr un cha,· ; et, pou,· ren• c.lrt’ Je toul plu :> werveilleux , le ;,. prt !terulus tigres tr3in3itut ce ch :i1·, t :m<lb, qu~ lei> boucs et les clt<’ re. :, sambadaient ~t l’entour, sous là forme de faunt"s et de :>Jlyni. : . . On Jounait à <.·eux qui sui- , aient t·t qui accowp~snaient le cb.a1· de Uact.•l1u.), lc :i norn :> de Raccha11ts et Rnccl,a11t, :.s . Y. t·es mots, c’e :,t-iM1itc, de plcureu,--s et Je pleol’en :,es, parce <1uc la !ète commençait pa1· des rcgreu tt par de1 lameu1 :uion.,, Les femmes qui porta.icnt le coffret ou les to1·beiUes .saet·è~s, ou du moins wit un tli, rse, soit. une torche de bois ré.)ineox, se ’tORGA_,·v U. ~- m. autiq. Iostt·nmeot de wu• liqoe des aucitu~, le même que la Otite de }>an, attrihuec à ce Dieu, aux Faunes et :un. Satyres, d et c1utlqudoi ! ~ Apollon et à rlcrcul’c, ORGAS,.11- :.. s . 111. ru . .- d . Agitation, mou’erueut dea humturs qui , :herchent ~ s’é·acucr. -Con • flemcot , i.nitatio11 ùcs parties du corps animal. ORGE. • · r . G,n,e ùe plant<> de la famille cle-s sra1ninCC- !;. - Sorte de grJiu o~ez. connu, nombre, <le ~eux qu•o~ nomme )Jcmu grains, .- 91 qne Ion ,eme onlma1remcnt en ru :us. - }>Jaure nown ;.tieut Jli :uadts, Trlldes, et llassaritl<’I, Ou leur donn,1it le no1u <le "’Jlt’nadd, <l’un inot grec <1t1i ~ignifie Fureur, à cause de leurs attitu<le.s c.· i, ;art•eJ t !I de Jem~ extr :tvag.i.nct :, liberti11es ; celui de Trad(’, ou l’agalxmdes, pal’ce <tn’elles :,c Jispers : iienl .i,u1· les montat,·•uc~ comme aotanl de cha~’)eo :,t.’ ~ ; < ;1ifi11 celui Je .Cmsaride, on rendau.• geu~t•.t, 11-arcc 4ue ces fêtes ne se célébraient qu’aprc :, le :, vend :mgu. Uu Ticillard, qui 1·eprêseut 3Ît Sih•n~, uom..- icicr de Bacchus, p.araii.sait eu dernier Heu mont« ! sttr u.o âne, et cxcit ;11ll tous les spectatcu. - . :1 :i la joie. Ce.s fêtes rcp.u.Li :: ;s.iieot qoi pol’le ce srain. -Orçe d’ !ti"er, Ort ;c can-et, rit celle c1ue l’on ,ème en mèrue temps que le fro-ORGl ’EPJ.li.RREUX. •· m . Subst>nce pier~euso qui crolt daus la mer· !tlr les rochers : ç 1 e11t un n.ssemb)agc de petits tuyaux rau ;;és pàr Ctagcs lti uns couh-c les antres. Cette suL. :stance se1·t :l an•è., tel’ les hêmorragie.s. ORGUEIL. s. m. Présomption, l>pinion trop avantageuse de ,oi-même, avec ’1 :.oépl’is pour les autt’es ; b :mtem·, J.ietté , insoleoce ; enffare de cœm·. -Cn , 1ohle orc"ril, on sentimcut ooLle tt éltvê. -Coin de bois on <’~le placée son :- . uu leder pour ~er’Îr de poiut tl’appui. -Outil qni sert à l( :,•et une meule. -t mytb. Figure ollt~gol’i <JUC, 1·epré.1 ;e11tt :c par une femme jeune, btlJe, superbement J,a.rée, la têu : h :mtc, l’air ahict et dêdaigneux. <1ui empêche les regilrds de s’tteuù1c ClU de se fixer sur des lambeau~ qui .s’écb3ppent de dcs.)ous son ...jche ,·Çtemenr.

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