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ORD

ORE

t être ou perpendjcufaires on inclinées .’1 taire, où les dif !étcnu degrés de dignitê et d’au• , pourvu qu’elles soient tontes parallèles torité aout .si bitn observés. - )lomen t de la

elles.

journée où le général c.looue i’ordro ou Ji~1ribue OROO- :’i°’~ · v. a. Ranger, mettre en orJrc, ses orJl’e.s . sou o.rmêe, et lui fait connaitre ce ooner. Ordo,mer une fo’te, un fostin, une noce. ciu·a juse Z. propos de lui communiquer. -l hat mander, prescrire. -

Ordonner tle 9uelque où C5l une maison, un jarJjo, nn atclic1•, etc.c, en disposer.- Doi :mcr un mandement, un Ordre de.s créauciers, état ’tn~on dl·e ~se de tou.’.i re de paye1· certaine somme !a quelqu1un. les créanciers d’un bonunc, d’une successiou, fércr les ordres de l’égli :ie. Ji a ité ordonué pour les payer suivant ce <toi lellf e~t dû. ncJ

• cre da11s telle içlise, -

Rêgler, statuer, décré• troupes ma1·cl,enl tfl ordre de bataillt, m3r(henl • joind"re, donnet Ol’dre. -méd. Donner, fa.ire, dans le nH~me ordi·o où elles combattraient, et ire une ordonnance. //. OaDON’ !fANCEI. -v. o. gardent les rangs ct les inter,·alles <’ :omme t•n un lon,1trque ... , prescrire de... -

Ordomurde... ,

jour de combat, -t Ordre oblit1ue, clt~positioa · poM !L’ de..• -S’o,·do,mer. ’V. pt·on. Se disposer, d’après faq,uelle une armée ou un corps de troupe :., meure en orclre ; se combiner, sc mettwe en e11gagc le combat pal’ uue de ses aile :), en l’Cfüpport. e=. ÛIDONXÉ, ia. part.

sant l’autre aile à l’ennemi. -

t Ordre mince, J :a

ORDRE. s. m. Ar-rangement, disposition des disposition anivan1, 1 ::iquclle une lloupe est rangêe ose~ mic ;es à len.r rang. Ttnir en onlre. l)/ai,1- sur un front tTès •êtendu • avec trë&-peu de pro• tnir l’otdttt. Ordn alphabétique, cl,ronologi111e. foodeut’. t Ordre profo11d, la disposition sni.. Ort !rt de la nature, ordre de la Providence, ’ant Jaqudlc one troupe est t·angf :e !inr uue grande ,·dre de la çrâce, la conduite de la natm :e, de profondeur. comm. Commission qu’un corre.s-

a Prol’idcnce, de 13 gr..cc dans leurs opérations. pond :mt fait à son marchand de lui expédier telle Ordre de bataillt !, état de toutes les tronpc :; on telle marchandise, à tels ou tels prix, ou aux ’one armée, suivant lequel elles doivent être prix déjà connus. -E 11 sous -ordre. adv. Su1,or..

ngée.s un jour de ba1aiJle, -

État, situa1jon, donnémeut. -

Il lt’âJJ<lilliJ c,1 sous-ordre, soas lei, r rapport à la fottone, anx affail’es. Être en ordre, tl 1

un auh·e.- Créancicr t11.sc,us-ardrc . . ;ulv. , ou mmo•ais ordre. -chas. Espèce et qualité$ Crlui qui n une créance sm· le créancier qui fait ’au chien. (ln lui ordre de cltie11s. -t Collection actuellement uoe pou1.sui1c. t F.•1 ordn·. ath.

on certain nombre tic genres voisins. Uue rêu- Selon un ord1·e C. :t :i.bH, le :; uns Zi côté des autres, ’on d’or1h-es se nomme a’asse.- Cotps qui corn- l’un ne passant pas l’autre, etc. >ént certains Étau. li y avait à Rome t,-ois ORDRE DU JOt :!l. • · m. O,·dre du travail drei ; Ordre des sénateurs, Ord,·e dts c !tcvali~rs, dont une as~emblêe rléliùérante doit s’occuper t Ordre J,.s pMhûens. - En France, Ordre de la cl :lns le jour oo tel jour. -On dit, Passer (l

ROhlnsc, Ordr6 du clergé, tl Ordre du ticrs-éUlt. tordre du jow· .s ur une propositi<>u, ponr dire, ne -Couunande1uent d’no 11o11périeut. comru. el pas hl meure en dèlihél’ ;ttion. ban,,. Endossement mi, au dos d’nn billet, ou tORDRES D’ARCHffEC :TURE. , . m. pl. myll.1 . d’un dfet, qui le rend payable :1 celui (Jui l’a cê<lé. L1u.s :1ge const3nt, cbc~ les aaciens, était d’.iffectcr - )lot du gncl. - , :lut c :lans les troupes donn~ l’ordre codn1hien aox. temples de Yénni., de flore, p ;n· le chef cle l’êtat•major de benice. Prendre, de Prosel’pinc, et des »)tnphe, des eanx. ; le tosortt-r /’ordre. -Compagnic de reli ;ieux ou d’au• can, aux grottes et au1 : chapelles d~s di’ioi1é :; trt, personne$ qni ~•obligent de vh·rc p~r scn :ne11t champêtres ; le dori JOC, aux temples de :Minerve, -

IOU'> certaines règlcS. L’ordre de Stûrit-fi·anfois. de ~brs, ù"Jlel’cule, elc. ; et l’ionique, au :,, ;, tem• -

t Distinction militaire. Ordre da chtPalerie. ples de Junon, de Dfaue et de Dacchu !i :. -t li y a t1Ue multitude d’ordres militaires, tek OR.DRS( ;S. 5, m. n11th. Di,inité des aucicns qoe cdui c.le l’Aisle blanche, de l’A.isle de Saint- Throces, tlont ils croyaient êtl’C issus. Michel, d’..lcanrarn, d’•. .marante, d 1

A1110nl’ dn ORDl’ :'l. s . m. Certaine longncur <le cannes prochaio, d’Ampoule, d’. _ntlré, c.l’Annonciaâe, montée sm· des cordes pout· la pèche. de Sai111e-Brigitte, du Collier, de la Colombe, ORDl1lE. s . f . Se <lit c.les excn !menls ou autre ; de la CoQ.cOrde, du Croi5,5ant, de l~peron doré, impU1·eté$ du corp~ . -Se dit <le toute. :. le5 chon• :.

du Saint•Esprit, <le ltahe, tles S« !l’aphins, de ],t malpropre !'> qui :s’ :u1adu :11t aux h :ibi1s, nux. 111c11-Tahle ronde, des Templiers, Teutonique, de la hies, etc. -pl. Bal :i)·me.s. Jc.’t.· :. ~ da tw.r or,lures. Toi.son tl’or, etc., elc., que les temps ont .succes- - fig. P :iroles sales, action.- ; . bonten•e :.. Û>tlc livemeut protluils, soit par de hauts faits d’3rmes f’Îèce tsl rtmplie ,Core/ures. Que d’or,lures dans ou. d’autres :tctions bri11a.ntes et ,•ertuenses. sa 1 :ie !

Collier, ,.uban ou outre. marque d’uu ordre. -ORDvlUER, R.rtRF.. aclj. Qui ,e plait à ,lire Sixième !.tCrement <le l’Eglise. Pnnclrc les ordres. de~ pat·oles dC :.honuètt'<>, ob :-.c crte.,. -Qui con-

"

L’ord,~ de prihùe. -

arcb. t Arrangement rnétbo- tient •le !> orclu, es. Chanson ort !uriJre.- l l C5t ausii dique des p3tlies tl’un tout. -

t Ensemble de, suhstriotjf. C’est lm ordurier. fa mil. partie, <lont •e compose une façade d"édifice, ORY.A Dli. •· ( . Ccnre do coquilles. -Espi ·cc

s.elon le sys1è01e J’on. :hilccture g,·ecqne. t On tle plante <lout la fleur reili.emhlc â 13 tète d’un ap~lle, Ordre composite, celui qui par1foipe de singt"".- s . f . pl. myt.h . :Sy,nphe :. des u1on1agne-, . l’ordre ionique et COl’Înthicn ; - tcoriutl,ieu, le - tNom qu’on dounait aos..,i :m...’C nymphe, de la plus délicat et le plus riche de ton.s les ordres suite tic Diane, parce <101. : ct-tte dêe :;se se plaisait à d’arch.itectore ; - t tlorit711c, l’ordre le plus solide ; chasser d. :mi, les ruont :1gnc.s. -t tosca11, celui de tous les ordres le plo.s tn3S !IÎL t OR.IIBITES. s. m. pl. Ancitail seetaireJ. I’. ÜfDRES o’A.lCRJT[CTUJ&. S . m . pl. mytb. -En

onJ1.e. $. f. Le bord t la lbière d’nn bois. il parl :mt clc !i $,<’ÎCnces i méthode. Ott tl.oit apprtndre était à l’orée dtJ cc bois. ,·i .cux. par ordr~ le, sci~nc(’J. -

bot. et bist. uat. L’une

OREfLL.UtD. s. tn. Ccnrc de mammifères qui d~s pdncipales dh isions d :in~ 1e~quelles on di-s - $e r ;1pprorbe des chanves- ~ om+,. tnbue IC$ indhi<l.ns , ~u t ;s ;1rd à ce qn’H~ ont r1e 1_ OREILL.AR.D, ARDE. aJj. Qoi a les oreilfos cPibewiki (d)u~ .et de difl’ércnt. - géom. transe. Qn : - longues, l,asseJ et ruai plan1èe !). Jumclll orcillardt•.

!’1~ ~nfm1c p :ir rapport G. une autre qui est dijâ -Qui asile trop les oreilles, qui les n :n111c à 

1uf 1111e ellc-mt’me. - Se dit des ctifiêrcntes classes cL3que p :is, à chaque bruit• â chaque 1emps. Cé d’i,près lesqnellts on ;,, r :mgé les chœuts des anges. cheJ•nl est oreillnnl. -

Ord1-e ltiérardû911~, se dit, da.os l’Église, pour OREILLF..

. i. {. L’organe de l’ou1e, situé de marque.. les différc-n1s degré- .

tlc dignité, . _’.auto• chaque côle de la tète. - Cette p.art ie ear1il3tri rité et de jo1 idictio11 , .- .

l’iosta,· de l’Ordre mili• ne~e qui c~t au dcbor.i et à l’eotonr tlu 11ou de ORE

!,jf 

l’oreille. -fig. Sc dil de tout ce qui a qud,1ut : reuemhlance avec une oreille. -

t 1or(’eau dr :

cuit· long et étroit ,1ui sert â allncher 1a boude d’on soutie,· . -

t Partie du soc de b clrnrt ae qui

sel’t à retourner la tcrte. -t Se c.Ht des morceaux de toile qui n :s~orte11t à chaque eucoii ;nnt·e d’une balle oa d’un ballot. -

t Se dit des petites lames

c.l~ plomU qu’on soude anx c.leu.x. côté~ de l ;,1 tou• ebe des tuyaux à clacminêe <l :ins les oq ;oes. -Se dit des -’ppeodicc :, de phhieu1·s p1antt•.. on ncm·$. -

Or~ille, le pli que l’on fait aa reuillet tl’uu li,·re, au haut ou an La~ de la page, pour ma1·r1uu· quelque cho :.e .- Daru la pres~e d’impri· meric, l.mgu< :ttc de la (ri~quctte. me 1i. Orciil,~

d’,ine, ,·otbsut·c dont l :1 partie supêri<. -n re e·,t droite eu deYant, et dont le foud t’SI bou1be t’n arc. -

mar. Oreiitc dlt li~••rc, Yoilr qn i. cl. :tnl appareill~-c, a la fonue tl’une YOile latine c,u d. 1ic1’ :;-poiut. -

Ort.’tlle. ùlas. Se dit de deax petit<"J poiotc :s ù’émail dlffércnt qui sont au baut dt~ coquillts, telles que celles <Jui pon,m.t le nom tlt ! Satnt-J"equcs. -

Chez les «-1 -ruricr ;i., se dit ch :, p :trtics saitlanlCl’I c1u’on laisse c :xcédel’ le (’Ol"Jh de l’ouvrage, et CJUÎ scr,ent de g11i<le pour une autre pièce. -

men. Se dil des petits cinlJt.’ .S. ordio.. · re ! ncnt en qual’t. :; de cercle, ou en o.,• ;1li-, ;.- S1. : dit des angles des paltes de~ anci es d’n1l ,·.ii :. :.e3u . -

byd1·, Se dit ùe petile~ p :i.rti< !!I en rctOUt et écbancrees, qui se joignent à cellt’5 qui sont cin• trées. -

Se dit de pctilt’s parties que l’on ’"OJl :, la charnict·e lle cert :ine :. coquilles, princip~lè• Ulent à celles c.lei pci ;ncs. - S1’ dit de deux p :uties en tôle ou en cnh-re c.le ccr1ainej casse1·oles, et qui :iCrvcnt, au défaut de manche, ~ lel’I pten• drc. -A, ·oir fordllc fine, entt·ntlrc 11if6cil<’o1<·nt. -

wus, et poés. A•·oir· de l’oreille, sentir bien b mclodle de la musique, la mesure et l’hnrmon1c des ver~ ; sujvre ou mar<1ucr Lien la mesure eu d :in~ant. -

A,·oir l’oreille hardie, se dit d’nu cheval qui , en n1ard1ant, porte le :; point~ de.s oreilles eu :1Ta11t, -

(ig. Â"CÛr le, orc-il !cs dtf,-

cala, se fâcher ai :i-1 .’ment. -

AJ·où- les orcùl, :s

clwstc.s, ne point ~onffril’ les p :uolcs dè :,hounè• t(•s.

Prêter r ordilc , t’lre attentif ou CCODlt"L fa,·01- ;thlemcnt. -

Ce di.scom ·s jlalle les oreilles,

e- . t 361’éaLlc ,i enlCntlt·e :. - Dan ! un sens cont1.11re, Cc discours ojfc :nse, MrsJc, écorche les oreille_, -Si celte affirire denl aux oreilles ( !t..· ,·otre pi :re ,

b’il en entend parJcl’.- fig, Se Jaire tirer l’oreillt·, se faire 111icr.

Rompre ks orà(les ti quel,1u’u11,

fimponuner. -

Se çrauo· l’orcillr, avoir du rha •

gdn, être inquiet. -

A,·oir l’ureil’c d’un prince :,

elc., en être ëcoult favol’.tblf’ment. tclumf 11 •

les oreilles à 111ef1111•un, l’ir1 itel’ par de3 p ;n· ~ les inconvennnte.s .

fallJ. Du,mer sur les on. :ill•s t1

9uefLJu’rm, le ba1t1·c .-. iaisstr l’orei/1, :, ê11c (’On• fu.s, humiHC. - A•·uir la puce ci Càrt·illd, tt,c in<1uiet, eu peine du succès de qudque cho. :;e. d’une entrcprbe. - Dormir .<ur Jes dcu~ oreiflc.s, <.111·e lrtutqlille. -

JI Jtr(l bit·n hturcu.t s’ii rar-

portc ,ei deux oreilles, s’il en l’Cvicnt ~ :tin et ~aof. -

Les murailles ont des orcil/i. ;s, si&nilie qu,011 cluit crainche d’être écouté lor :,qn ’on p :itle de quelque . - fî. - iire -'>C~l’ète. t my1li. 1.’o,·eillt : élait

consacrée i• llnémosync, et on loi offrait rJttelquerois dh·er-ses otca1c.s d’argent. t : m1iq. On

111c1tait au nomtre des prê~agcs lt•s tiutenumttt d’o1·eillC-$, e1 le !> bruits qu’clle :s t.,i•alent erati :n• dr.) quel<1uefoji, Si lé tiotemcot ;n-ait lieu dan-. l’oreille d1·oitc, c’êt.ait nn ami <iJJÎ p ;ntllt <le non~ a,,ec avitnt3ge ; dao :, 1•orcille g :inche , c 1

ètait un

enneJt,i qui av :iit m.- 1

pa..le de nou, ;. -

t ..D,,n~ Ml

~ luséum ancien, lu·eillc ét.iit représentée co1.nm1. ; ratu·iùut d’on phallus.

t r. ÛR.UI,Lts ri&

~l(DAS, s. f. pl.

oru- :1LLE-n1u ;’r.. ’· (. bot. Tréull·ll• de con, sis1ancc cas.s ;inte • et de coult :ur brune.