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• I96 IZA . l~..B n’est point conpablc, qne 1elle cbo~c n 1 c~t pM I iJCTUR~E- ~ - ~- ~nltb, L~ dë.~S -$e <les anc~ens . . D : 1 . innoctnt celui qui était J.omaÎD5 <1ue ren~r :ueut par11culicrement les filles crun,nelle. - t. :C .net ’ b·d’U t _ DétnlÎl’e le sujet de blâme, de puni~ et fo.s rcmmc !t, les unes pour o tt’nu· <’ e un n~cose . p . , .. boraté la ’êrüé d’une cbo. !Sc. prompt t :t beut’eux. mariage, et les autres ponl’ llon. - rouve1 .. ’ -. 1 , ··bl · ,~r. ·irs craùues - n pal Jus- en obtemr un nccouc C1nent 1avorn e. L’évincment a Jl" t1tt : - • ’ · ~ • • r•1p1 , d /’ · , d·• L’cmploid’uue sommr.- En tJLl-YEI.G~l !.UR. s. m. am. ,eoc, ans 3 coutijier " con l’mrt., .. J • Ldd’O 1. . ., nner la i’nsticc intérieure. imprim. turue de U1·etagne, C3( et apanage.. c uc r- •·e ,g,on, uo ,. • • d,. · d"· .·, , • • ·se’ment )t ane lorlP-nenr con>eoa.. ,~ans eslJIH’t#(lfltur e ia mauo,i e s. -iancc. ,1cux. .,. .UUJett1r prec1 • t’I- r IF’ 1 L1J• , d’un ou.- ra~e en évitant qu’il y en tJUUL, on JOL. •· m. myt 1. cte que es peul • es ,gncs o, . . •1’b · . J• • d’h· uit de trop fortes ou de trop faible :s. - S~pt~II- pies duÉnord ceEe rn1 ;ntC. ~n. so s~1ced 1ve 1 r.U fi, . Pronver son innocence, la 1ust1ce t JUV :N.LI , s. 1. eremon1e nnl) ;iquc e t1. 1. pron. . .. . • tt• • 1d’ J d •’o $ le tror hrQJld désir de se JUS/i’,er les Jeunes Romarns 011ra1enl a a cesse uven1as c.esacun, o· ~• l • ·1dIbJ •·1 · · · 1 / u"i neflaut (Féoèlon) ~ Ju :;. es premiers po1 s e eor a.r >e, qu1 s Jetaient nml .sou’1tn p uJ 9 · · b· Tn·u !, i :g. part. . 3."’ec l’enrens dans ~n ra :ilCr. . . . . JOSTIFil !Ull. • · m . P,incipale parue dn con-JUVE : SAUX. ndJ. rn. _ pL Se dit des ienx msh- . c lequel on approprie les cal’actères d’jm- tués en l’honneur de la Jeunesse. -On les 001upoir ave . .J. . . rJ• pdrnerie. cbcz les foodeurs. . ma1CllVÉl"’ !.~si mI1LxEnerod1 !u :nQ,S. : . • tr&~At.[ !. JUST~’E. s . f .’·~ Ionnaie :mcienne de Tenise, ~U . .,~L, • . _aJ· rut~ent a Jeunesse, qui va.fait environ six francs de France. qu1 appartient a la ~eunesse. rv1eu.x. • JUTEUX, EUSE. adj. Q11i, rend, <1ui a beau- tJUVENTA, JU, E~’TAS, on JUYE~TOS. s, coup de jus. Jlcw1t j«1tu :e. Pec/,e juteuse. f. mylh, Dcesse de la JCWlesse, divmtte qne les K. s. m. Lettre consonne. - L3 huitième des consonnes. -La ont.ième lettre de l’alphabet.-. On prononç :lit Ka autrefois, et dans la oouvelle nppe113tiou on pronoace Ke, comme le C dur. - Autrefois ons 1enservait dans les mots Kalrnde.s, Kalcnd,.icr. -On s’en se1·t encore dans quelqocs noms pi·opres, comme StocAholm, Yorck, etc., et en d’autres mots tirés des langues thraosères. -Le capp• des Grecs ( K• ). - tl.eure gr•cqne à laquelle rëpondait le C des Ro1n :ûns, d’où ’ÎCnt c1uï.ls les employaient quelquefois indifféremment l’un pour l’autre, parce qu’ils conservaient toujours au C le roèmc son qu’au K , même devant no e on on i. Ds p.. ooonç :iicot Kikcro et non SisdJ·o, Cicéron ; -Kœsar, et non Stsar, César, etc. - t K seul êtait pon.r Cœso, Calus, Caia, Caro,. lus ; - Cnlcnda :, les Calendes ; - Calunwia, chi• cane, cnlomnic ;- Cnndidatus, c :mdidat ;- Capu !, la tète ; - Cardo, un gond ; - Charis.simus, très-cher ; - Castra, camp ; - Ca,-1/,ago, Carthage ; -C <>hors, cohorte, etc. - tTrois K à côté l’un de l’autre, K. K . K. étaient nommés les Trois mi• chants, et <lésignnient lb Cappadociens I les Cré• tois • et les Cicilieus. t K se mettait sur les vèle1Dents qoi avaient êté frappés du tonnerre, rt qni, à cause de cela , étaient 1·egardés comme impurs et fnoestes : le mot grec qui sign.üie La foudre, commence par on K. On y wett ::iit aussi Je 0 , qui est aussi la leure jnitialc d’an autt·e mut grec qoi ~igoHie La mort. t lbrque les re_ ;Î3h·c’I de lmre31l et de commerce. Rr.rristn, K. - t Aln ;éÎ.ttiou de lûlomèlt"e, de kiloG.ra1ume. - th., clans les noiubre5, marquait :i5o, et, &î’CC une llgne au-dcssa~ (K), 250,000. tPoio- çoo d’acier 3n l·out duqtu-1 est gr :n :é un K, et qui .se1t à frapper ou :’i lmprimer cette lettre. t : l’Ch. Indiqae ap1-ès J b pierre qtù doit couliuuer la série des pierres d’une colonne. t )tar.. que la di1ic :mc reuillu d·un ou..·rage iJnpri1uê. Siçnaluri :. K .. Feuille K. -tSert d1indica1lo11 aux fjgure~ d’nnc pbm. :he gravée ,l’un ounage, pour .tider à eo tron-çer l’eJ.plic-ation d.io :; le te.xte. UA, ou l._.’.llJ.. &,. m. t·~pt’cc de curcuma qui - .e trOU è dans 11le d ◄, Ccilau. ih.A.B.L s C. myth. 103hom. )lot CflÎ signifie, l/auo11 tarrce. C’c~t un bâtiment cêlcb1·e cht’z lu nnuulmans, qu’ils plactut nu-dt.))IJS de tous K les dd.ilice-s que.les mnhres da monde ont èlevès à grands frais et avec tant de travaux. • ·Abra• bam, disent-ils, construisit cette maisonoette Jans le temps de,se. !t persécutions , Dien lui ayant révélé qu’il avait choi1i ce lica•là, de tonte éternité, pour y pincer sa bénédiction. • C’est ce même bàt.imeut dont Jsm,ël hérita de son père : on y voit encore les restes de son tombeau. Enfin c’est )3 sainte maison vers laquelle tons lc :s ma• hométans adressent leurs vœux et Jeol’s prières. Le joo1· n’y entre que par Je t :ôté oriental, oû est une ouverture en fol’me de pOl’lC. Celte po1·te est fermée par deux battants d’or massif, attaché $ à lo muraille pot· des gouets et des pentn1·es do. nu !me métal. Le seuil est d’une seole pierre, sm· laqadle tOU$ les pélel’ins viennent s’humilier. La porte s’onvl’e rarement, parce que l’intérieur ne renferme rien qtû puisse exciter d :ivantagc à la dévotion. Le haut et les planchers, ain)Î que les monülles, sont tont co11vel’tS d’o1·. La pjerl’e du seuil est un fragment de la statue de Saturne qui est placée sur la Kaaba même, et qui fut Lrisèe t 3insi que les autres .figures etnblémMi<1ues, pa1· ordre de Mahomet. Oo s.ait que Saturne était la principale cÜ’ini.té des anciens A1- .1bes. K.A.A.L . s. 1n. Sorte de pâte ou de décocti..on qne l’on fait dans l’Inde avec La balcria 1,y,trix. Quelques-uns êcrivcnt J<.aat. K.AAll.SAAK, s. m. Oi•e•n du Croënlaud dont le nom exptime à peu près le cri. K.AATE. s . ru . Arbre de l’Inde dont la pulpe •’cruploie dans les pa,t.ilJes de bétel qne les O. -ient 3ux. mangent cont_ïnuellement. tKAA·ru- - SCUJ :JUF. s . m . relat. Chiffre dn Crand-Seiguenr. KAAVA, ou KAV A. s. m. Sorte de bois,on eni’rante faite avec une racine par les sauvages des iles des Ainis. KA.A ,vy. s. m. Boisson préparée on Bresil avec le tnai.s cuit. KAn.K. s. ru, relat. En lIoscovio, lieu pnblic où l’on vend <ln Yin, de ln bière t de l’ean-Jc-vic, des cartes, etc. ; c’t• !.l une e’-pêce d’estaminet qu.i a le même but c1oe le :, nô11·es. h. .BA" 1. s. m . Jlomme public, ,lans le Levant, dont les fonctions sont les mèmc5 c1ue celles des notaires rarnù nous. KAD ancleos Romains invoquaient qn :md lls faisaiGlt qaltter la robe prêtexte à leurs enfants. JCiX, ou J( ;K. •· in, Monnaie de compte de Turquie, qui contient roo,ooo aspres ou min• JUX.TA-l’OSÉ, ÉE. adj. Se dit des parties réoo nies à d’aotres parties par juxta•position. JUXTA-POSITI0’.'1. s, f, Terme de phyalque qui exprime la manière dont les corp$ augmentent de volume et de qu :m1i1é par la matière qui s’y ajoure extêricurcineat. Les minéraux croissenl par juxta-position. t Appllcalion à l 1extéric11r. - t Accroissement par jtu.ta-Position, celui qui a li-eu pal’ une application successive de molécul11 nou,·elles à la surface de celles d’un noyaa pri..mitif. - t 1fanière de forger les canons de fatil de telle sorte qu’en approch :wt les bords ,le la 1amt ils ne chevauchent pas. tJUZA. !11. s . m . méd. Nom que l’on donne à l’èléph.nutiasis ou lèpre des Arabe.s . tnYIDIÈS. • · f . pl. myth. Propbétesaes, nym• phcs des bois, chez les Scandinaves. • tJU..BASCH.lll . s. m. relat. Che( de canton sm la ~te des Esclaves. K.ABASSOU. s. m. Espèce de talon à douze bandes, ou marqué de douze b,ndes. tKABA.YLES, ou KOBA..LES. r. Coouua. K.AJlBADE. s. m . Habit militaire des Grecs modernes ; le Sagum 1_ !cs Romains. Y. SAGuas. tK.AllEWA,v. s. m . Vieu nom du cabélian oo. mort1é, r. Hooc&1ENS. K.AilESQt :I. s. m. J1101111aie de Perse qui équivaut à en·iron 6 denicl’S tournois, K.AlUN. s. m. relat. ll3rfoge en usage chez Jcs mahométa.ns, par le<1uel un homme t :pous.e ono femme ponr on teuips limite. tK.A .llOSCHIRS. • · ru. pl. Nobles nègre, d’Is• sini, ch :irgés exclusivement du commerce. On Ccrit ;ru.si Kabocl,irs. KACliIN. s. m. Espèce de coquille, que l’on trOU’C : :au Sénégal. KACHO. •· m. Espèce de poisson dn genre des squales des mers du K.amtschatk.a . KAC-PIRE . s . m. Arbuste sauvas•• K..(.’Y. S. m. r. Ku.i’. KADARS, on lul.D. - 1 .RIS. s . m. pl. Secte de m :thonu !tans qui nient la prédesliQation et )9 déc1·ets de la }>rovi<leuct di,·ine, tet soutieoncut que l’homme est un agent libre, et qo’il dêpend ùe sn volonté de fafre de bonnet ou de mau• vaise, 3.Ctioos. Cette ophtion e.st rejetée des wahonu : tans. comme bér-éLique et toute contraire au principes de leur troyat1ce. KADEJ.ÉE. • · L Espece de haricot qui croit d,ns le• Indes. tK.A .DEU :.. s. f. relat. Femme ou plut<t ..clave du Cl’.ind•Seigocur, qui t5t êlevêe au.. des. ;us ~le, $impies oùalis,1nes, dont elle Cit comme la goa• vern :mte. Les Kadeuns sont, dans lo sérail I ao nonlbre de sept. tKADi ::ZADÉLITF.S . s. m . pl. Nom d’nne •cet , particulière de mahowé1ans. Ils o».5en·ent dans les funér~itles de.s cêrémonies qoi s’eJoibtnCnt de l’us.age ordin :ûre, comme de crier d3nt l’oreille du mort : u Qu’il se ~oavienne qu’il n’y a qn’an ~cul Dien, et que son propliCte n’~t qu’un. o 111 récitent des prière$ partic11lières pour te, mort.1. C'c>t presque la seule chose qui les distiJ1gue du ~utres mu.sui.mans. •