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J

nt~oo, ’terve, traniport. -

Jouissance extr :101·cli•

aaire . -

Moments de ft !licité.

tmyù1. Fjgorc

al lêgoriqae, soui lc. !I traits d’un cnfont tenrint un cor et port ;mt une couronr1c clc ,·e-rre. Sons lts t rait, d’un enfant, parce que 1110,ume ivre b~ :iye co ,nmc un enfaot, et n’a pas plu !; qoe lui l’n,ase de sa rai500 ; le cor e$l le symbole •le l’indi~cré• lion qui caractél’ise cet état hun1iliant ; et la con• r oone de verre annonce la j ;icta.ncc et la COU· fin.nec qai l’accompagnent, et qui dot•ent hientôt ’3ire place à la misêre et :m découragement. IYitOnSE. adj. Qai est ~11jet à s’enivrer on à boire :i.vec excès. lin 1•alc1 frro~ne. - Il est :ia5si sabst :mtif. Ce.si un grand iw·oçne. lYR.OGN’FJL v. n . Boire avec excès et souvent. Il ne fait 9u’frrog11er. popul. IYROGNERJE. s. f. Habitude de s’ewvrer. -

pl. Se dit de l’action m~1oc de ,~enivrer. (À :llc frmmo a beaucoup à .mppo,.ttr des ivrogneries ,le son mari. -tmytb. Figure allégorique, ~ous les t l’aits d’une femnlC d’o.u ûge moyen, grasse et v crrneille, qui tient une gran,1c u1esure de vin, d ont elle p :uaît a,•oir bu uoe gr :i.nde partie : elle r it, quoique chancelante et prtte à tomber. IVROGNESSE. s . f. Femme : ;ujctte à ~’euil·rcr. Ce.si une 1·irille b,roçuessc. popul. fl0[E. • . f . r. Iv&AIE.

lYAf’IClJR,"L s. f. Espèce de baleine qu’on trouve dans Ica mers du Nord.

tlW. ’iGIS. • · m. pl . E, ;pèce de sorciers des tlcs lloJaqnes, qui font au-s :;i le métier d’cropoi• 1onneors. On prétend qu’ils vont déterrer les corps mo r ts pom· .s

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cn nourrir, ce qu.i oblige les

habitants de ces iles ll monter la garde auprè~ de leurs sé1mltures jusqu’. ce qttc les <" :>.dnv-res soient presque réchüts co poussière, momeut qui ne fait pl ns craludre b voracité des lw :;mgis. IXA. s. m. Genre de crustacés, formé de la seule lem•.

— o :; :ie cyHndre.

l’X.l’.UTIQl !E. s. f. ois. Chasse aux çl uaux. t L’art de prendre à la glu lœ pelit5 oisc ;i..ux. IlOE. •· f . Plante bulbeuse dont 13 fleur, qui est t rès•Lcllc, parait dans le printemps. DUO :’<. s . m. Constellation d’llercole. -Con-

s tellation de la couronne ansudle.-t mytb. Now d’un roi clcs L~pithe, , qni épOûS3 Clia, fille de Deionée, en ref~aut les pl’~sents qu’il lui a :rait promis pool· époo.ser sa fille I ce qui obligea ce J . s. 01. L., d..i.iième lettre Je l’alphabet, qu•on rappelle nbusivement J consonne, et <tue dans l’appellation moderne on nomr..ne Je ; de sorte tplC l’ou dit aojourd.hui un J, en le prononçant comme dl’lù5 la seconde iyl13be do mot Angc.-Ccue lettre o·a de commun a,·ec Il ni le !on, ni Ja figure, ni l’« !wploi : 01.1 ne peut donc la com• p r endre sous la mèaue dénoruinatioo que CC !ttt’ ,·oyelle, ni, romme on a fait jusqu’ici dans un grand nombre des Dirtionnaires ancicu.s, les coufontlrt l’une et l’autre dans l’ordre alphabétique. r. ce qui est dit dan~ les dèfioition~ de l :i 1’oyelle J. -

t Le J fat introduit d :uu l’ünpriwerie pa.r les R oll3od ;iis ; 3t1~ - . i les t-ypograpbcs l’appellent qoel~ quefoi.s J de llollande. ( ;e fut .senlement vers le tnilic :n du dix~ha.itièmo : ;it :cle <1u ’on distin~n :i le J consonne de l’l royelle. -J,septièu1e co~onnc. -

J, t marque le.s rtgistres dans le ! bureaux. Re&iSlt~ f . - tarcbit. :larqoe, après l’J, lu pierres d’oo êdifice qoi $èrvent .à en for,uer les colonne,. -

t Inwque le, partie, ou ligures d’une planche •’-

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JA13

<lernler à lul enl ever ses chevanx. Ixion, dissimul : mt son re. ;.., ;cntjiu.ent, attira chez l ni s.o n be.au• pèL·e, et le lit tomber dnns une fo !SC ardente, où il perdit la vie. Ce crilllc fit horreur ; lx.ion ne 1t·ot1,•3 personue qui voulût l’expier, et fut ob1igè (h : se cacbe1· . J opiter eut pitié de ses 1·emo rd.s, Je recnt d3os le ciel et l’admit H la table cle. dieux. Él ;loui <les chatmes de Junon, l’ingrnt Ixion eat l’ir1soleoce de lu.i déclarer sa pa, ;;sioo. La sêvèro déesse s’en plaig :nit à Jnpiler, qui forma d’uue nuêe on fantôme semblable à son êpouse. l- -c :ion tomba daus le piégo, et ce commetce imaginaire donna le joar aux. Centaures. J t11pite1·, le regardant comme un individu dont le nectar avait troublé la l’aison, se contenta de le bann.ir ; m3..Ï$, sachant qu’il se vantait de l1aYoir <lc !shonorê t le roi des ,liell> Je précipita, d’un coup de foudre, dans le Tartare, où lJcrcure alla l’attache1· à une roue, eo,•lfonoée de serpents, qai de’ait tourner sans rel :iche.

tIXIONIDES. s . m. pl . Descendants d’.b :ion. IXOCARl’J, :Ll.. •· f . Genre de plantes qui est le même que le scbiiolœna.

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stvt’rc pénitence. Après s 1t !tre déponmé et COlH·ert de ccutkcs, il alla se cacùe,· an milieu des tom.. beaux, tenant eh main le crâne de son (rèl’c et ’b

d

sa an_ onnu. ab plus grande donlenr. Le temps IXOCAULOS. s . m. Genre

fnmille des cariopbyllëes.

afonc1t nn pen so~ chag, in, et H commença à s eouuyer de la solitude. Pour se dissiper, jJ 3Jla mendier <le village en village ; et, arrivé dans no lien qui sen·ait de 1·etraite à plusieut’$ Brabmine.s il fut surpris d’y trouver aussi tle fort belles fem_ : mes. Il forma at1SSitôt le dessein de s’associer ces aimables pénitentes ; et, sc déGant de son mtrite, H employa fa mag :ie pour s’en faire aimer. Par la ve r tu de ses so1·tilége.s, tontes les reœmes qnit- ~ èr~1 ~t lcs Br3hmincs pour le suivre. Le-s religieux, u·r1tts de cet ontr-age , couroreut après le ravis,. seur, et le mirent d :ins J’jrupbssibilité de séduire. Tel e.,t, dit-on, l’origine du cuhe qne les lndiens rendent à hora sous l e norn de Lingam. r. ce mot. Comntc di,·inité à corps humajo, Ixora c.st représenté avec on teint très-blanc. n a trois yeux, dont Pon au milieu du front, seize bras et a u tant de mains, qoi portent ~haconc nn attribut diffé. rent. Son babillcrueot se compose d’one pean de de plantes de la tigre tt de coir d’éltpb :mt entouré de serpents. n a le cou cu,·ironné d’une foutTure , à laqnclle h t suspenJoe o,nc cloche avec trois chaines, dont l’une est formée a1,•ec des fleurs, l’autre avec quel• que.s h1tes de Bl’·ahma , la Lroisitme avec les os d’une de ses femmes.

lX.ODE. s . f. A,·b,·isscau de la l’ionvelle-Hollande. -

s. m. Genre ù

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arach1ûdes de l’ordre des

trachéennes ; les tiques.

tIX.ON. •· m. Espèce de gomme.

tIXORA. s . m. wyth. ind. C’est le nom le plus connu de l’un de.s dieux priucipàw :: des Indiens, que l’on :’lppclle autrement /Jur~n, et quelquefois Esn,arn, Rutrcim, on RmUliren. Ce dieu, ennuyé du sèjour céleite, eut eovie de vcoir snr la terre, et se fit d’abord rcligienx. Il !C ,listingua, dans celte professlon, par on grand nombre d’infamies et de crimes, qoe les légendes in,liennes rappor• tent pieusement. n se ruaria ensuite avec la fille du roi des 1fout~gnes, nommée Parvad.i 1 et vécut trauqu.i1le1neut avec elle pendant millt> ans. Les autres dieox, indignés qu’il dêshonm·ât ainsi sa clis ;nitè p~r un si long .séjour avec une mortelle, allèrent l’arracher de.s bra~ de sa feunue. E .Ue en IXORI !. s. f . Genre de plantes de fa famille des l"nbfacée.s .

trx.os . s . ru. Espèce de ,·autoor. -Nom d’une

sorte de piaule.

îIX.YS.•. m. 11101 gl’eC qui a éte employé p>r différents auteurs pour indiquer le.s os des ile.s, les Bancs, et les lombes.

lZAltl. s. m. r. lsARt et Auz.11.r. tIZED. s. m. Ron génie du deuxième ordre, .selon la doctrine des Parsis.

IZELOTTJ !. s . m . llounaie ancienne qui 3.vait cor. :; dans qnelques liea :s : de l1Empire. tIZESCU :Œ. s . m . mytb. Nom d•un ouvrage de Zoroastre, composé dè soi.x.ante-donzc bâs 01 ;1 mourut de douleur ; mais eJle 1·e,·int an momle chapitres. •

quelque temp :; ap~s. Ixora l’époa..sa une seconde tIZESCHS. s. m. mytb." pers. Office religieux fois. Qaelqne temps après, ayant coupé, dnns uoe I

des Pa1~i.s.

dispute, nue des tètes de son r..Çre Brabma, il ne ISQCIERDE. s . ( . Arbre do Pêron, qni forme tarda pas à s’en repentir, et il se condamna à une o.n genre dao.s la polygamie monœcie. J

gravêe d’an ouvrage, pour de là en trouve1· rex• volonté, mais qu’il est conduit p :- ; .r nn :.gent sapéplication d :ms le texte.

t Poiuçon d’acier aa rienr, et que Dien, exel’çaut une puissance abso.. boat dnqoel est empreint un J , et qui sert à lue : ;u1· les crêatores, les <lt$rine à ~tre heoreasts frapper ou iru~ - ~ime_i - cette lettre. on malheureuses, selon s.a volonté. JA. a,lv. De ;a. t·tcu.,.

JA.llATOPil’A. a. m. Arbre du Brésil. t Jil-B . ~ CHl. s. m. rclat. Capitaine d’infauterie tJAllE. s. m Nom qu’on donJ1e à l’ttre suprême en l’urqnie.

chez les Samaritains. Il répond an mot de Jao JAAJA. s . ru . Sorte de plante de la famille chez les 1uifs. dos palétuviers.

J A.BEBl~ÈTE. s. f . E,pèce de raie que l’on J..

. AJ.OU.. . . 5, m. Espèce de haricot ou de ptche sm· le ! côtes cln BrC$il. favéole qui croit dans le Brésil. J.ABEr. s. m. Sorte de coquille, nommé aussi tJABA.JAHIS. s . m. pl. mytb. Secte d11érétiqnes L’arche africai11,. anaboml. !tan :; qui nient la prcscitnce de Dieu, et I JABIL. s . m. E - .p, !ce de petit mollusque de la soutiennent qu’il gouverne le monde .suh·aot les ramille des rochers. circonstances et les occasions, s~ns avoir sa de JXIJUlU. s. m. Genre cl’oiscaux de rordre du toute êternitê c-e qui devait .lrriver, <lt qu’il n’en écl1assiers. a acquis la conoaisi.. :mce, comme les hommes, JA-llLE :. s. m. Ra.inore qu·oa. fait aux dooî°e, que par l’os,ge et l’c'tpérieocc. des tonneaux, pour o.rrèter les pièce., dn food. tJAIIAlUS, on JAIIAIUSTES. s . m. pl . mytb. -La partie deo douves J·un tonneau, qw exc ;dc Secte de mabowëtans qui prétendentqoe l’homme leç foods des denx côtu. verr. Jonction du

n’a aacoo pouroir uj sur ses actions, ni sut sa fond d’un pot a’ec la fiè cbe. -P ~içnts de ja6lt,

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