tonné de gueules ; à la bordure d’azur, chargée de huit étoiles d’or.
DE SAMBUCY DE LUSENÇON, de Sorgue, en Rouergue d’or, à une branche de sureau de si- nople, fleurie d’argent, accompagnée en pointe d’un croissant de sable ; au chef d’azur, chargé d’un so- leil du champ.
DE MENON, en Poitou : d’or, au chardon de sinople, fleuri de gueules, mouvant d’un croissant du même.
CLIQUOT DE TOUSSICOURT, en Champagne : d’ar- gent, à une tige de coquelicot terrassée de sinople, fleurie de gueules ; au chef d’azur, chargé de deux étoiles du champ.
DE LAMBERT D’HAUTEFARE, en Dauphiné : d’ar- gent, à une branche de rosier de sinople en barre fleurie de trois roses de gueules ; au chef d’azur, chargé de trois étoiles d’or.
DE BAILLET DE VAUGRENANT, en Bourgogne : d’argent, à trois chardons feuillés de sinople, fleuris de gueules.
FLEURONNÉ, ÉE, adject., se dit d’un trécheur, d’un pal, d’une croix, etc., qui ont en leur longueur ou à leurs extrémités, des fleurons d’architecture assez semblables à des feuilles de persil.
DE RIVIÈRE DE SAINTE-MARIE, en Dauphiné : d’or, au trécheur d’azur ; les quatre angles saillants fleuronnés de gueules. Devise : Pour les deux.
DE SAINT-MAURIS DE MONTBAREY, en Franche- Comté coupé au I d’azur, à la croix fleuronnée d’argent ; au 2 de gueules, à l’aigle éployée d’or.
DE GLEISENOVE DE MARAINVILLE, en Lorraine : d’azur, à trois croisettes fleuronnées d’or.
FLEURS DE LYS, subst. fém. plur. Les Rois de France portent pour armes, d’azur, à trois FEURS DE LYS D’OR. Un arrêt du conseil, du 19 mars 1697, enjoint aux commissaires généraux, dans la réception des armoiries de n’admettre aucune FLEURS DE LYS D’OR, au champ d’azur, qu’il ne leur soit justifié de titres ou de permission valables.
Les FLEURS DE LYS étaient déjà employées pour orne- ment à la couronne des Rois de France, du tems de la se- conde race, et même de la première : on en yoit la preuve
