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HASERSUAL — HATIPHA


Jos :, xv, 28 ; 2ep<rouX « , Jos., xix, 3 ; ’Erepaoua)., I Par., iv, 28 ; ’EoepsooX, II Esd., xi, 27 ; "Vulgate : Ifasersual, Jos., xv, 28 ; xix, B ; II Esd., xi, 27 ; Hasarsuhal, I Par., IV, 28), ville de la tribu de Juda, Jos., XV, 28, assignée " plus tard à Siméon, Jos., xix, B ; I Par., iv, 28, réhabitée, après la captivité, par les enfants de Juda, II Esd., XI, 27. Elle appartenait à l’extrémité méridionale de la Palestine. Elle n’a pu, jusqu’ici, être identifiée, comme la plupart des localités qui se trouvent dans le même groupe. Deux seulement, dont elle est rapprochée dans les différentes énumérations, Molada ou Tell el-Milh, et Bersabée, Bir es-Séba’, pourraient servir de point de

repère.

A. Legendre.
    1. HASERSUSA##

HASERSUSA (hébreu : ifâsar Sûsâh, Jos., six, 5 ; IXàsar Sûsïm, I Par., iv, 31, « le village des chevaux ; » Septante : Codex Vaticanus : Eap<jou<recv, Jos., xix, 5 ; ’Hiu’ïuæoopiji., I Par., iv, 31 ; Codex Aleooandrinus : ’A<rsp<rou<rî(i, Jos., XIX, 5 ; ’H[ii<rusti)<yfu., I Par., iv, 31 ; Vulgate : Hasersusa, Jos., xix, 5 ; Hasarsusim, I Par., iv, 31), ville de la tribu de Siméon, située par là même au sud de la Palestine. Jos., xix, 5 ; I Par., iv, 31. Le nom hébreu, par sa signification, semble indiquer un antique dépôt ou relais de cavalerie, de même que Bethmarchaboth, « maison des chars, » qui le précède, désigne probablement un entrepôt de chars de guerre. Voir Bethmarchaboth, t. i, col. 1696. Mais, où se trouvait la ville ? C’est encore un problème aujourd’hui. V. Guérin, Judée, t. iii, p. 172, serait tenté de l’identifier avec Khirbet Sûsiyéh, localité située dans les montagnes dé Judée, au sud d’Hébron. Il est certain que le rapport onomastique est frappant, mais la position nous semble beaucoup moins convenable. Le village, placé entre El-Kurmul, Carmel, Khirbet Ma’în, Maon, et Es-Semu’a, Istemo, appartient à une portion du territoire de Juda, distincte de celle qui fut concédée à Siméon. Cf. Jos., xv, 26-31, 50, 55 ; xix, 2-6. On a proposé aussi,-d’après Tristram, Susîn, ou Beit Susîn, sur la route des caravanes de Gaza en Egypte. Cf. G. Armstrong, W. Wilson et Conder, Nantes and places in the Old and New Testament, Londres, 1889, p. 82. L’emplacement serait meilleur. — Dans la liste de Josué, xv, 26-31, parallèle à celle de Jos., xix, 2-6, on trouve Sensenna (hébreu : Sansanna) au lieu de Hasersusa. Reland, PaUestina, Utrecht, 1714, t. i, p. 152, est disposé à croire que les deux noms indiquent une même ville. Voir

Sensenna.

A. Legendre.
    1. HASIM##

HASIM (hébreu Jfuiim ; Septante : omis dans le Codex Vaticanus ; ’Aaàë, dans Y Alexandrinus), donné comme le fils d’Aher dans la Vulgate. I Par., vii, 12. Le texte hébreu a le mot fils au pluriel, ffuHm benê’ahêr, « Husim les fils d’Aher. » Le texte de ce verset a évidemment souffert : aucune des nombreuses restitutions essayées n’est bien satisfaisante.

    1. HASOM##

HASOM (hébreu : IfâSum ; Septante : ’H<rdtii), père de plusieurs Israélites qui renvoyèrent les femmes étrangères prises à Babylone contrairement à la loi. I Esd., x, 33. Voir Hasum 1.

    1. HASOR##

HASOR, ville chananéenne. I Keg., xii, 9. Ce nom est écrit ailleurs Asor. Voir Asor 1, t. i, col. 1105.

H ASRA (hébreu : Biasrdh ; Septante : XiMufo ; Codes. Alexandrinus : ’E<rmpr), père de Thécuath, ancêtre de la prophétesse Holda. II Par., xxxiv, 22. Dans le passage parallèle, IV Reg., xxii, 14, il est appelé Harhas (Vulgate : Amas).

    1. HASSÉMON##

HASSÉMON (hébreu :. Jfé&môn ; Septante : omis), ville de la tribu de Juda, située à l’extrémité méridio- ( nale de la Palestine, et mentionnée une seule fois dans I

l’Écriture. Jos., xv, 27. Elle est, comme la plupart des localités de ce groupe, restée inconnue.

A. Legendre.
    1. HASSUB (hébreu##


HASSUB (hébreu, : Hmùb ; Septante : ’AmiS), lévite de la branche de Mérari, père de Seméia, I Par., rx, 14. Dans la généalogie parallèle de II Esd., xi, 15, il est appelé Hasub dans la Vulgate. Voir Hasub 3. "

    1. HASUB (hébreu -##


HASUB (hébreu -.IfaSSûb ; Septante : ’A<ro-j6, sauf dans II Esd., x, 23, où on lit : ’A<roû9, mais le Codex Alexandrinus a la leçon ordinaire’Asoùë), nom de trois Israélites.

1. HASUB, fils de Phahath-Moab, rebâtit une partie de la muraille de Jérusalem et la tour des Fours. II Esd., m, 11.

2. HASUB bâtit vis-à-vis de sa maison une partie des remparts de Jérusalem, au retour de l’exil. II Esd., iii, 23. Il est différent du précédent. Il paraît être le même personnage que Hasub, un des chefs du peuple qui signèrent l’alliance. II Esd., x, 23.

S. HASUB, lévite père de Séméia, dans la branche de Mérari. II Esd., xi, 15. C’est le même personnage que la Vulgate appelle Hassub dans I Par., IX, 14.

    1. HASUM##

HASUM (hébreu : Hdsum), nom de deux Israélites. »

1. HASUM (Septante : I Esd., ii, 19, ’Aai^ ; Codex Alexandrinus : ’Auoil[i ; dans les autres endroits : ’Huo[i), chef d’une famille du peuple dont les membres revinrent de Babylone avec Zorobabel au nombre de 223. ! Esd., h, 19. Dans la liste parallèle, II Esd., vii, 22, il est nommé Hasem par la Vulgate. Le nombre des membres de cette famille est dans ce dernier passage de 328. Plusieurs des fils de Ifâs’um renvoyèrent les femmes étrangères qu’ils avaient prises à Babylone contrairement à la loi. I Esd., x, 33 : dans cet endroit la Vulgate donne le nom sous la forme Hasom. Hasum, chef d’une famille du peuple qui se trouve parmi les signataires de l’alliance, II Esd., x, 18, est vraisemblablement le même personnage.

2. HASUM (Septante : omis dans le Codex Vaticanus qui ne nomme que quatre lévites au lieu de sept ; le Codex Alexandrinus a’Q<jâ[i), lévite qui se tenait avec sis autres lévites à la gauche d’Esdras pendant qu’il faisait au peuple la lecture de la loi. II Esd., viii, 4.

    1. HASUPHA##

HASUPHA (hébreu : tfâsûfâ’et Bîàèufâ ; Septante.’Auouçé ; Codex Alexandrinus : ’Auouçâ pour I Esd., Il, 43 ; et’A<yqu, Codex Alexandrinus : ’Aotiçô pour II Esd., vil, 47), chef d’une famille nathinéenne qui revint de la captivité de Babylone avec Zorobabel. I Esd., Il, 43 ; II Esd., vii, 47.

    1. HATHATH##

HATHATH (hébreu : B~âtaf, Septante : ’AOiO), un des fils d’Othoniel, descendant de Cénez. I Par., iv, 13.

    1. HATIL##

HATIL (hébreu : Hattil ; Septante : ’Ateiâ ; Codex Alexandrinus : ’ArréX, pour I Esd., Il, 57, et’Ey^X, Codex Alexandrinus : ’EtrijX pour II Esd., vii, 59), chef d’une famille, « les fils d’Hattil, » rangée après les Nathinéens parmi les fils des serviteurs de Salomon. Ils revinrent de la captivité de Babylone avec Zorobabel. I Esd., ii, 57 ; II Esd., vil, 59.

    1. HATIPHA##

HATIPHA (hébreu : ifâtifâ’; Septante : ’Atouçix ; Codex Alexandrinus : ’Azupi pour I Esd., ii, 54 ;. et’Axtiçi pour II Esd., vii, 56), chef d’une famille de Nathinéens dont les membres revinrent à Jérusalem avec Zorobabel. I Esd., ii, 54 ; II Esd., vii, 56.