avaient le titre, les uns de rabsaris ou rabsarès (selon l’orthographe diverse de la Vulgate), IV Reg., xviii, 17 ; Jer., xxxix, 3, 13 ; les autres de rabsacès, IV Reg., xviii, 17 ; Is., xxxvi, 2, etc. (Voir ces mots).
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260. — Le roi d’Assyrie combattant avec l’arc sur son char de guerre. D’après Layard, Monuments of Nineveh, t. i, pl. 13.
Le roi combattait sur un char (fig. 260) ; les soldats se battaient à pied ou à cheval. Tandis que la cavalerie égyptienne se composait exclusivement de chariots, l’armée assyrienne avait, outre des chars (fig. 229, col. 905), IV Reg., xix, 23, de véritables cavaliers, montés sur de forts chevaux, cf. IV Reg., xviii, 23 ; Ezech., xxiii, 6, 12, 23, qui poursuivaient l’ennemi avec vigueur et achevaient de le mettre en déroute (fig. 228, col. 904).
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261. — Assyriens montant à l’assaut d’une place forte. D’après Layard, Monuments of Nineveh, t. ii, pl. 31.
Ces cavaliers et ces chars étaient particulièrement redoutés, comme nous le voyons dans Isaïe, v, 28, et Nahum, ii, 3, 4, 13. C|, Jer., iv, 29 ; Judith, xvi, 5. Mais la partie la plus considérable des forces assyriennes était naturellement constituée par les fantassins. Ils étaient ordinairement armés de l’arc (fig. 227, col. 904), IV Reg., xix, 32, de même que les cavaliers. Judith, ii, 7 : Is., v, 28 ; xxi, 15 ; xxxvii, 33, etc. (fig. 228, col. 904 ; fig. 229, col. 905). Ils se servaient aussi de la lance, Judith, ix, 9 ; xi, 2 (fig. 35, col. 227 ; fig. 57, col. 303 ; fig. 158, col. 637 ; fig. 224, col. 902) et
