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WETT

WILAR

1892

1

et Basse - Aleace, Sundgau, Brisaen , préfect, de Ha- les pays environnants, est ainsi nommée de la Weller guenau ; reconnaissance de la conquête des Trois- (aMuent de la Nidda ), qui l’arrose : elle comprenait Evêchés ; – 20 pour la Suède, Pomeranie Citérieure le Lahngau inférieur, les 2 Rheingau, le Meingau, avec Stellin et l’île de Wollin, plus l’expectative de Usingen , Wiesbaden, le comté de Kønigstein , les toute la Pomeranie et de l’évêché de Camin , Ru- 2 comtés de Katzenellmbogen , Epstein , Wetzlar, gen et Wismar, l’évêché de Verden et l’archevêché Francfort-sur- le-Mein. Ilanau , Mayence. On la de Brême sécularisés et convertis en principauté et Jivisail en Welléravie mérid , ou Weliéraviepropre, duché ; et, en outre , son admission aux dièles de et Weltéravie septentr, ou Westerwald.- Plus an l’Empire pourses possessions en Allemagne ; —3° au ciennement, il y avait eu un Wellergau ou canton Brandebourg , l’archevêché de Magdebourg et les de la Weller moins s’aste, el qui , borné au S. par évêchés de Minden , Camin, Halberstadt , sécularisés : le Mein , puis par la Kinzig et par le Vogelsberg , 40 au Mecklembourg, les évêchés de Schwerin et comprenait les comtés d’Isenbourg, de Nidda , de de Ratzebourg , etc. ; -5° à l’électeur palatin, reslin Solms-Laubach , Stolberg -Gedern, Schultern et la tution de tous ses domaines, moins le Haut-Palatinat, ville de Friedberg . Jaissé à la Bavière ; -6° reconnaissance de l’indépen- WETTEREN , ville de Belgique Flandre orjent .), dance de la Suisse et de celle des Provinces -Unjes. sur l’Escaut, à 16 kil . O. de Dendermonde ; 7,400 h . II . Dispositions religieuses .

WETTERHORN , moulagne de Suisse (Berne).

10 Confirmation des paix de Passau et d’Augs- dans les Alpes Bernoises, au N. du Schreckhorn ; bourg ( 1555) ; 2° extension aux Calvinistes des 3,916 »n de haut. avantages que ces deux actes avaient accordés aux WETTIN , ville murée des Etals prussiens (Saxe), Luthériens ; 3° suspension de la juridiction ecclé dans l’ancienne Misnie, sur la Saale,à 35 kil. N.O. siastique, tant d’état catholique à état protestant de Merscbourg ; 2,600 hab. Elle a donné son nom à qu’entre deux états protestants ; 4° sur les 50 mem- la maison qui règne lant sur le royaume que sur fores de la chanıbre impériale, 24 seront protestants : les divers duchés de Saxe. Voy . MISNIK et SAXE. 6 protestants entreront toujours au conseil aulique. WETZLAR ou WETZLÆR, ville murée des Etats III . Dispositions constilutionnelles.

prussiens (Province Rhénane), ch.-I. du cerele de

10 Tout élat immédiat d’empire a chez lui la su- Wetzlar -Braunfels, à 75 kil. N. E. de Coblentz ; périorité territoriale ; 20 la supériorité territoriale 4,750 hab. Jadis ville impériale. Elle fut depuis s’étend sur l’ecclésiastique comme sur le civil et le 1688 le siége de la chambre impériale qui jugeait temporel ; 3o lout élat immédiai a séance et sur des causes entre élats d’empire (avantcetieépoque, frage à la diète ; nulle loi ou interprétation de loi , la chambre avail été à Spire ). Les Français et les nulle déclaration de guerre d’empire , nulle paix | Autrichiens se livrèrent un combat devant ses inurs ou alliance d’empire, nulle taxe, levée, construc- en 1796. De 1803 à 1814 , Wetzlar apparlint à l’e lion de forts, etc., ne peut avoir lieu sans le consen- lecteur archi-chancelier de l’empire germanique tement des co-élats réunis en dièle ; jo les villes (Ch .- Théod. Dalberg), dit plus taru prince-primat. impériales jouissent des mêmes privilégcs.

Le congrès de Vienne donna celle ville à la Prusse,

Le traité de Westphalie a été la base de l’orga- WEXFORD , ville el port d’Irlande (Leinster ), nisation de l’Allemagne jusqu’à la suppression du ch.-l. du comté deWexford, sur le canalSi-Georges, corps germanique en 1806. Il a élé aussi , avec le à 97 kil . S. de Dublin : 12,500 hab . Le portest ob traité des Pyrénées ( 1659) , qui en est le complé- strué par une barre. Bains de mer fréquentés. ment, le point de départ de la diplomatie moderne Wexford passait pour la plus anc. ville de l’Irlande : jusqu’aux guerres de la Révolution .

ellea été bâtie par les Danois. Elle était jadis très forle ;

WEST-POINT, ville des Etats-Unis (New - York ), on voit encore quelques traces de ses murailles. Les ch.-I. du territoire des Highlands, à 100 kil . N. de Anglais s’en rendirent maitres en 1170 ; Cromwell New -York . Célèbre école militaire, fondée en 1802. l’assiégea et la pril en 1649. – Le comté de Wexford WEST -PORT, ville d’Irlande (Mayo) , à 15 kil. est enire ceux de Wicklow au N., de Kilkenny et S.O. de Castlebar : 3,500 hab . Commerce aclif. Celle de Carlow à l’0. , et sur le canal St-Georges alı ville s’agrandit tous les jours.

S.etàl’E. ;ila90ki !.duN.E,auS.O.,sur32

WEST -RIDING, div. du comté d’York . Voy .YORK. kil. de moyenne largeur , et 212,000 hab. (dout WETSTEIN , famille de Bale , a produit, aux xvi 190,00 ) catholiques). Beaux pâturages. et xviie siècles, plusieurs savants distingués. Jean- WEXIDE , ville de Suède (Gothie ), ch.-d. du lan Rodolphe Witstein , né en 1614 , mort en 1684 , et ou gouv. de Cronenburg ou Kronoberg, a 400 kil. son fils Jean -Rodolphe 1l (1647-1711), enseignèrent s. Ö. de Stockholm ;1,200 hab . Evêché. Biblio le grec et la théologie à Bâle ; le 24 publia quel thèque : imprimerie , papier, usines à fer, etc. ques traités inédits d’Origène : — J.-Henri , frère WEYMOUTH, ville d’Angleterre (Devon ), sur la de J.-Rodolphe II , né en 1649, mort en 1726, s’éla- Manche , àl’emb. de la Wey, à 16 kil. S. de Dor blit à Amsterdam , et y fonda une imprimerie cé- chester 2,900 hab .Un pont la réunit á Melcombe lèbre, d’où sortirent un grand nombre de bons ou- Regis. Quelques édifices élégants. Bains do mer. vrages , qu’il accompagnail lui-même de savantes Marguerite d’Anjou debarqua à Weymouth avec son notices ; Jean -Jacques, neveu des précédents, né fils Edouard en 1471, lorsqu’elle venait rétablir son à Bâle en 1693, mort en 1754, entra dans l’église, it mari sur le trône. d’immenses recherches dans les principales biblio- WI ! AMPOA , port de Chine, à 3 kil. au dessous thèques de l Europe, dans le bui d’élablir le texte de Canton , dans une île du Pé-kiang. C’est là que du Nouveau -Testament, ne put obtenir de publier s’arrêtent les navires européens. à Bale le résultat de son travail, se retira en Hol- WHARTON Thomas, marquis de), fils de lord jande en 1730, ety donna, en 1751 eu 1752,une édition Phil. Wharton (parlementaire zélé sous Charles ) du Nouveau- Testament, en 2 vol. in -lol., avec une fut constamment dans l’opposition sous Charles li riche collection de variantes ; Ch.-Ant., tils de et Jacques II , provoqua la fameuse adresse qui in l’imprimeur J.-Henri (1743-1797), enseigna la lillé- vilait le prince d’Orange à prendre les rênes de l’état, rature grecque à Leyde, el traduisit , en vers latins, sut contrôleur du palais etmembre du conseil privé Hériode, Théocrite, Coluthus ( 1774) .

sous ce prince, perdil ses places à l’avenement

WETTER , riv . d’Allemagne. Voy. WETTERAVIE. d’Anne, puis rentra en gråce, fut nommé vice-roi WETTER ( lac), en Suèrle . Voy . VETTER .

d’Irlande en 1708 , quilia ce poslc en 1710 , mais

WETTERAVIE, en allem . Wellerau, anc. pror. reçut en 1714 les titres de lord du sceau privé, de d’Allemagne,dansle cercle du Bas-Rhin,aujourd’hui marquis de Wharton et Malmesbury. Il mourut généralement comprise dans la llesse, le Nassau et ’ l’année suivante . Son lils , Philippe Wharton