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du matin, je me penchai sur miss Havisham, touchai son front de mes lèvres, au moment même où elles disaient, sans prendre garde à mon baiser :

« Prenez le crayon, et écrivez sous mon nom : « Je lui pardonne ! »

C’était la première et la dernière fois que je l’embrassai ainsi. Et jamais plus je ne la revis.