Page:Dickens - Dombey et fils, 1881, tome 1.djvu/341

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

Hélas ! il ne le reconnaît pas, cet air ; et, s’il le reconnaissait, quel air joué par sa fille pourrait attendrir ce cœur rigide ! Dors, Florence, dans ta solitude ! Dors ! et paix à tes rêves, quoique la nuit se fasse sombre, que les nuages s’amoncellent et que l’orage gronde au loin !



FIN DU PREMIER VOLUME.