LXX I T.
La ALrt dt# Afaïhdfa.
e
Eft l’admijablc Mere des lepe Martyrs qu’on appefe M .«chances. Elle avoir 6 biAi forme fcfpric de fes enh% tU loy de ’>ieu, leur avoir ift’pirc tare d
- u lu ^cchc , <5c
]cs a voie élevez dans un ;i 1 mépris pour ir la vie même, toutes les choies <1 lac . flu’u»» Roy nommé A r > e.vy ic Oie j, les voulant’ ooli^cr à n< * * i a chair )c pourceau, contre la det u Loy, iJ ue put jamais le leur perfj«ier r y par k« prom-lïes ks plus actiractc» : ny par les menaces ks plû$ tcrribics. Ces (cpt frères donnerer genereuximnt leur vit, 6c luufF ire .e avec j ye une mort très cruelle, ■.Jû.vft que de e ju’cmk au violcment le la Loy O-i leur coupa la Lmgire Ar ies cxtrtinit z. des iniins des pieds, ou leur arracha la peau de deilüs la t<lce,o i les fit enfuite roftir en une eluuhere, ils cou foin mer en r ks uns apres ks autres dans les feux : ce qui leur rcflro.t de vie. Cette gencrcirtc Mere avoir une ctllc cànfiance’eij Di-u qu’elle vid fans s’effrayer/ mourir tous fes fi s en ui mène jour j & pleine d’uuc lagefFe toute elefte » & d’une force qii Tclevoit a i dedus de ion fer*,.e4le les exhorruit à s’eRimer heureux de donner leur vie pour ren dre à Disu* Thon îeut qu’ils luy doivent. Elle craignoic autant que fes enfans refafaflenc de faire à ‘>tai un factificc de leur vie, que les au tres Meres craignent de voir quelque incom modité, quelque ntifcrc, ou que’quc déshonneur à leurs enfans j & elle defiroir avec autant d’ar deur de les voir aller à- Dieu , que les autres de* firent de voir les leurs combLez de Ûchefles v de profpcritca & d’honneurs.
