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Dev. des f.trens

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On en fait voir l’abus par C&riture,

TfOcyt dis le Prophcic îûïe , ce qeto a-t le Sei^ F £*ear UU* fillfi Je Sic* : PAt se quelles /1 /ê*f /i/vérf j qu’elles ont marché la refit haute > quelles ont mefur3 sens leurs pas & aieedié lento* leurs démarches, io Seig leur rendra leur tojle <64^ ?/, O* Harracbera s**J lents cheveux : il leur otiata leurs

  • abjures magnifiques, leurs cohors, hier} orqfiletj

leurs ce effet t leurs tub i» ! de ekrveux > leurs boètes de parfum , leurs pendons Jtreilles } leurs bo^es, leurs fiemrsor, leurs robes magnifia* esfieun éthatpeit leurs beau* linges, bars sn^ons , IfnrS chtmijis de grand prix , leurs babillerons légers ccfH’re le ehautl 4* l’Eté, &> leur parfum for* changé ex puanteur, leter teinture et Cran une torde , Ituts cheveux ft’fiz on h,ir Sofia nu’è(^ fans cheveux, & leurs riches corps 4e jupe en un tilsce. Voilà le ja^emenc que Dscu fait des raina ornemens des femmes, < lapnnitioû qu’il en fera dansl dreroitc. Ce qu’il condana* xc de la force ne peut eftre innocent. 11 déclaré par la bouche de faine Paul, qu’il tcuc que les femmes prient oftant vétués comme L hennit été le dtinnndo,quelles fi ferent de mo defit e O de ch nfiesi» ($• *o* avec d :s cheveu* frifeqj ny des ortu mens d’or , ny des habits fimptHifsx i mats comme le doivent hre des femmes qui font froftfion de pista, f> j*i le témoignent par leurs bonnes axvres* It pas la bouche de S. Pierc , qu’il ne *’«/ f*s quelles mettent leur ornement À fe parer au dehors par leur frifure des cheveux» par Iss enrichi feus tas d’or, par la beaité des habits » mais à parer l’homme snvifible cache dans le coeur » far la fureté sncorruphble d’un offrit plein de druceur (7 de paix 1 ce qui ofr nu riche & magnifique ornement aux yeux de ZMtff - (J* que o’eft dinfi qujt les fdenses fon,met «p>