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pour 1’ Educ. Chrtji.’de Snfitnr.

55 reçoivent-ils Ici Saccemens, <5c enfin quelles <x marques donaeot-lls que ce fait i’cfprit de *< Dieu qui les faffe agir » Êft-ce ce que ditu l’A^ôtre ? -/< ifl/Dm* f as «gr-M /w îi/prit ds Dm l qui eti" ? qn* n a c

?*f l’c'ptit de Dit», n’t[i pu* ! A taj, ne les >c

regarde pas ? Eu vérité» fi Dieu conferve fa c< grâce dans que’qacs-uns parmy ane infinite de defauts qu’on y remarque fc que l’an toleie, ** il eft bien à craindre que la plupart sac la per- (i de ne par iûtuitâon ici devoi s cfieütiek de la *’ créature envers (ou Dieu : comme de l’aimer^f* de l’adorer» de le puer» de faire pénitence, x< te que l’iadevotraii C le libertinage qai fuc- z< ccdc fouvcnc à Lézarde l’enfance, ne naifitde Fexcioftion delà G race en eux dans Jestems^1 où l’an les regardait comme ianoicae.

X L I î I

Les Purent doivent fuir toute Avarice* . r i fa prodigalité & toutes les dépendes iuperfinis doivent erre bannies d’une matfan , qui dois être une <<o !e de pieté pour les enfin* qu «r. y élève , oo n’y doit pas mous témoigner c’éleigncsient de toute avarice, afin que la v c lois uniforme , te que préservant les enfans d’un pré> cipicc, on ne les engage pas dais un astre. Il ne faudrait peint, fi cela fe pouvait, qu’ua enfant vit jamais dans fou pere fa mere d’ardeur peut imifer du bien, d’attache à ce la y que l’on a dé* jà, d’inquietade ny de crainte de le perdre, de chagrin Oc d’abattement dans les pertes qa’on en fait, de chaleur Oc de refientimsnt centre ceux qui en font perdre , ou à peuriuivre an procès , ou à faire payer nue dette dans toute la rigueur j ny de plaintes de ce qu’on nrco a pu afiea , ny d’irj quiétudes pour ce que i’on deviendra à favenir ,

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