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des P arent & des Mjiftres

apprenant ce9 faiacci maxime» de* leurs plui ten-. dtes aoaccs.de en les leac expliquant (auront avec, amour & avec douceur. Mais uu de leurs plue, grands foins doit eftre de prendre garde qu’ils ne frequentent pas des gens qui leur en apprennent de contraires À celles-là. C«r 1rs *4j*v*h C4rvtlient ctWNptnc les bani<$ f^X4r ;fdit i’Apoftre. Il ne faut point (ouff.ir, pat exemple , que les enfans tirent & concertent avec des gens qui. louent devant eux le* vannez, le* neheffe* , les grandeurs du monde , ceux qui fane fournie, qui s’enrichillenr, & qui Le pouiienl, ny les feftinsde la bonne chere , ny le jeu , ny la Jan'e > ny les divertidémens, ny ceux qui fçavent le vanger, & . qui ne (ont pas gens à le laitier faire un afFrontt ou une injure,oy généralement ce qui eft vicieux & déreg i , ou ce qui appartient au monde Sc a fes damnables couûu.nes ou nuximes. 11 ne tant pas non plus > fi cela le peut , qu‘ii* entendent blâ net la vertu 9 ny les perlonnes vettueu es > ny lien de ce qui a rapport au Service de Dieu , ou a fa para c ; ou qu’i’s apprencat dans leur enfance** rien de ce qu’il leur faudra oublier an joie f< pour fe fanihfie : x fc’on a parole de faiot <c ie. ô ne Car i cftixea Lffi l’c , ajoure ce (aiot c< Jodeur, d’efFiCer les impr (Gm qa’ooapri-** fes dans les premières anne.-s de la vie. XXXI.

Veiller beaucoup uM qtilf n’entendent pas

— des d[cours qui puiffent lonner atteinte d leur cbajletc**

"J ’ianl ho q ne de n »£re ficelé-ne vou* ne pas mi-uz permerere qi’on louât la les femmes ou des fi es en prefencc des ga ç ins , ny par conlequenc • ea jeuies hnm.n-f biecfàits

prefeace les fi es. Et aduremenc ce <raad humme, iopc a pute cceîc auifi foâUc K