neurs. Mais qu’®n fçaehc que Dieu traite Ïa* mnt/r du monde £un adultéré ; & qu’il eft dit qrte fi ^nel^u un aime le monde , la chanté de Dieu n’cft point en luy , 11 n’aime point Dieu , ny ifcft point aimé de Dieu.
La vingt-unième. On fe latte d’eftre ce qu’i ! faut quand on n’a point cetnmis de crimes ; au lieu qu’il faut eftre convaincu* » que noui devons < eftre remplis de toute ferto tk bonnu œuvres & de ' vertus > le cjue les arbres infru^ueux font condam* ne^ au feu cternel. Le fervito ur inutile eft jette pieds & mains Lies dans les tonsbroi extérieures » où il y a des pleurs & des grineemens de dons. Les re prouvez feront condamnez au feu éternel au dernier jugement, npn pour des crimes maniifcftcs, mais pour u’avoir point affifto JclusChrift dans la perfonne de les membres * j’ay eu vaut ntn’nvtz fat lt£t i f»j ejte fas habitx, WH ne r»Avt pat rnitu, fny r ;>t flju» & en atm’avt^ füj -vtfiti. Rttirtz-taur At tnoy , m«n£h, r> all/^au feu qut a eflf yreptri fourle dublt & four fei .Ât’gtj. Car la féa le inutilité , qui conGfleàuc faire point de bien, .eft un aflez grand crime pour nous ^amner^quand •vous n’co commettrions point d’autie , félon le lencimeat des faines Pères. C’eft un ertute Sun Çbreftien 9 dit faine leiôme , que de X avoir pas les vertus neceftairts. Qu’l eft donc •ronnani que ides Chrcfticns ofeot demander, quand on ks rc*
- ©rend
5 quel mal y4 a-t-il là ? ^icuu > • .c----autre <mrrr grande eranrlr caufe ranG» de
La ving-deuxiéme. Une
4-rrv.narion de tant d’ames, eft la profanation