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Abandonneriez enfans à ’Dieu , lofqu’il les appelle.
Ouc ce’a eft compris dans cette faroTe que J e s u s-C h R i s t dit a la Vîcige : vous p4J qu’il faut que je fois ec,> eufi À ce qui regarde les affaires de mon Vert i y. Car cette maxime ne convient point telle— yj ment à Jisos-Chkist, qu’elle rte yj regarde aüffi ceux a qu’il a fait l’honneur de 7> les recevoir pour (es freies , en les rendant 3> enfans adoptifs de Dieu. Ilfautaufli que ces „ enfans adoptifs foient occupez aux œuvres de j,lcur Pcre’cclcfte ; & par conToquent les peres J, & les meres de la terre n’ont point droit de Ica ,j apliquer à quoy ils v-u’ent , fans s’êtrc in* tj formez de ce que Dieu demande d’eux , & ils j, n’ont point droit non plus de les détourner de jj la vocation à laquelle il paraît clairement ,> que Dieu les deftone.’ Tout’ce ‘qu’ils peu,» vont faire > e’oâ de s’informer des raitons que jj leurs enfans ont dans le choix od ils fc poi„ tent. Mais apres qu’ils auront reconnu par jj L’examen qu’ils feront des motifs de .eurs eu>,fans dans le choix d’une vocation qu’i’s cherj, chêne finccrement Dieu , & que c’eft Dieu „ qui les y apfel’c : il faut les abandonner à J, Dieu j & ne (e pas oppofer à fa Volonté „ comme la Vierge céda â ce que Jefus-Chrift », luy dit qu’il eftoit’demeuré à Icrula.cm pour jj accomplir l’ordre de fon Pcrc.
yibus des part” ? fur ce fajet , c*t< c de grands maux» » L n’y a rien de p’us jufte & de p’as raifonnablc que ccs tc/Jes , mais on peut dire jj Hu’ii n’y en a point de pîu* mal gardées.
