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Il ne s’avisait ni de le voiler, ni de l’enguirlander ; il le voulait nature.

Sa suprême joie, c’était le corps nu, ses tressaillements, ses jactations, ses orgasmes : le spectacle pour ses yeux des manifestations vitales qu’il provoquait.

Son fellatorisme n’était pas psychique, comme celui du prince, il ne choisissait pas l’être idéal de formes et de visage, mais se rapprochait de Titine par ses goûts d’hommes forts et bien râblés.

Avec cela en plus qu’il employait ses « obligés » à l’aider de leurs pouvoirs et de leurs fonds toutes les fois qu’il l’exigeait.

La solidarité, par le vice et la finance, ne pouvait s’étendre plus loin.