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Il est facile de mesurer la distance qui sépare la poésie de la prose de Perrault dans ses contes ; il n’est besoin que de lire successivement un court passage de l’une et de l’autre. Voici le début de Griselidis :

Au pied des célèbres montagnes
Où le Pô, s’échappant de dessous ses roseaux,
Va dans le sein des prochaines campagnes
Promener ses naissantes eaux,