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ler des arguties des sophistes de son tems, en combattant l’opinion funeste qu’il n’y a rien de vrai, ni de faux, ni de certain, (opinion qui n’est pas moins absurde que pernicieuse, puisqu’il y a toujours de certain pour chacun de nous, ce qu’il sent d’abord, et ensuite ce qu’il en déduit, si de nouvelles sensations confirment