ou pronoms personnels, et nous avons reconnu ce qui leur est particulier. Passons actuellement au second élément de la proposition qui est nécessaire à sa décomposition. Nous avons déjà vu que c’est le verbe, et que lui seul, avec le nom, est élément réellement nécessaire. Cela va devenir encore plus clair.
Paragraphe iii.
des verbes et des participes.
continuons la décomposition de la proposition. Elle renferme un sujet et un attribut, c’est-à-dire, une idée sentie exister dans notre esprit, et une idée sentie exister dans celle-là ; son premier état est d’être exprimée toute entière, par un seul signe ; l’interjection comprend le sujet et l’attribut. Mais, lorsque commençant à la décomposer, nous avons imaginé des mots, pour exprimer les sujets des propositions, c’est-à-dire, des noms et des pronoms, et que nous joignons ces mots à l’interjection, il est clair que celle-ci n’exprime plus le sujet. Elle n’exprime donc plus que l’attribut. Or nous avons vu que des élémens de la proposition, les verbes sont les seuls qui expriment un attribut. L’