Page:Dessaulles - Lettres de Fadette, quatrième série, 1918.djvu/176

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

fes soyeuses : c’est leur petit paradis, où elles gardent même les rêves purs irrêalisés ; elles aiment à les retrouver et elles peuvent leur sourire avec une douceur attendrie, puisqu’ils ne furent jamais piétinês par ceux qui font pleurer les femmes.