et infaillible de concubinage et de promiscuité ?
Le Pape Saint-Grégoire le Grand rappelait aux fidèles de son temps « que l’esclave ne devait pas être séparé de sa femme et de ses enfants, même en cas de partage héréditaire ! »[1]
Voyez cette lettre du même Pape à Maximin, Évêque de Syracuse.[2]
« On m’apprend tant de mal commis dans cette province qu’en vérité je crois, (que Dieu détourne ce présage) que ses péchés la conduiront bientôt à la destruction. Le porteur des présentes est venu tout en larmes se plaindre de ce que, il y a quelques années, un homme que je ne connais pas, de l’église de Messine l’avait fait baptiser et forcé de se marier à une de ses esclaves, dont il avouait avoir des enfants, et qu’aujourd’hui, il avait violemment séparé cette femme de lui et qu’il l’avait vendue à un autre. Si cela est vrai, c’est, mon ami, un crime cruel et