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Enfin, seroit-ce à titre de sage, de grand politique, d’homme à qui il est donné de gouverner les empires, que tu t’arroges de nous asservir à tes idées ultra-révolutionnaires, sans que même les représentans du peuple ayent le droit d’énoncer leur opinion, à peine d’être chassés de la société ? Mais, pour ne citer qu’un seul exemple, ne sont-ce pas les trois ou quatre numéros qu’Hébert à publiés à la suite de la mascarade de la déprêtrisation de Gobel, qui sont, par leur impolitique stupide, la cause principale de tant de séditions religieuses, et de meurtres, à Amiens, à Coulomiers, dans le Morbitan, l’Aisne, Lille et Vilaine ? N’est-ce pas le Père Duchesne, ce politique profond, qui, par ses derniers écrits, est la cause évidente, que, dans la Vendée, où les notifications officielles du 21 septembre annonçoient qu’il n’y avoit plus que 8 à 10 mille brigands à exterminer, il a déjà fallu tuer plus de 100 mille imbécilles de nouvelles recrues, qu’Hébert a faites à Charrette et aux royalistes ?

Et c’est ce vil flagorneur, aux gages de 120 mille livres, qui me reprochera les 4 mille livres de rentes de ma femme ! C’est cet ami intime des Kocke, des Rochechouart, et d’une multitude d’escrocs, qui me reproche mes