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Ce Michel est aimé aussi d’une jeune et gentille paysanne, pour laquelle il n’a que de l’amitié, et qui est un caractère charmant.
Lucie a une mère romanesque, entichée de sa bourgeoisie, rêvant pour ses deux filles des aventures avec la caste au-dessus d’elles, plutôt qu’un honnête et bon mariage avec la classe au-dessous.
La sœur de Lucie, qui est dans les mêmes idées que sa mère, dépérit désespérée de devenir vieille fille, et meurt désolée de n’avoir pas vécu. Ce dernier caractère est peut-être le plus remarquable du livre.
Il semble que l’auteur en avait eu la première idée en commençant son autre ouvrage, Une vieille Fille, qui, publié en second lieu, a été, je crois, composé le premier. Puis l’idée se serait modifiée