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RETOUR À PARIS.

I.

Il faut que je vous parle aujourd’hui que je pleure,
Louise ; à m’écouter voulez-vous perdre une heure ?
On peut bien perdre une heure alors qu’on a sept ans. —
Oui, prêt à fuir, hélas ! bien loin, pour bien long-temps,
Ces grands bois, ces grands monts, cette Auvergne chérie,
De mon cœur orphelin adoptive patrie,