Page:Deschamps, Émile - Œuvres complètes, t6, 1874.djvu/197

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.




NOTE DE L’ÉDITEUR.




Parmi les papiers de M. Émile Deschamps se trouvaient les traductions en vers de l’Avare, du Médecin malgré lui et de George Dandin.

Nous publions seulement ici ces deux dernières pièces que l’auteur semble avoir particulièrement soignées et achevées en vue de l’impression.

On y reconnaîtra, malgré une versification et des licences toutes modernes, le ton, le style, la langue même de Molière.